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[Contenu partenaire Video] Fullwood Packo : « Les robots se sont adaptés au bâtiment »

Le Gaec du Coadic, dans le Finistère, a investi dans une nouvelle stabulation. Quatre robots de traite M²erlin de Fullwood Packo y ont pris place. La robustesse du matériel et son silence de fonctionnement ont motivé ce choix.

Sandrine et Jacques Valegant élèvent un peu plus de 200 vaches laitières, à Arzano. Après la reprise d’une ferme, leur cheptel devrait dépasser les 250 afin de produire 2,4 millions de litres de lait. Pour parvenir à cet objectif, le couple a construit une nouvelle stabulation. « Nous ne voulions pas une cathédrale. Il s’agit de deux bâtiments symétriques avec une auge centrale, raconte l’éleveur.
Les plans ont été pensés avant l’achat des robots de traite. Ils s’adaptent au bâtiment et pas l’inverse. Les M²erlin sont placés en L. Cette organisation permet de gagner de la place et de réduire les coûts du gros œuvre. » Après six mois d’utilisation, le Gaec du Coadic ne regrette pas ce choix axé sur la circulation libre. Les vaches passent 2,7 fois à la traite par jour. Cette bonne moyenne est facilitée par le système de caméra thermique et de laser qui assure un branchement rapide des trayons.

D’autres critères ont incité Sandrine et Jacques Valegant à opter pour Fullwood Packo. Le couple souligne d’abord la
résistance du robot. « Tout est en inox, c’est solide. » Les éleveurs insistent également sur le silence de fonctionnement du M²erlin. « Avec leur bras électrique, les robots font peu de bruit. Les compresseurs et le bloc machine, placés à l’écart des vaches, participent au silence qui règne dans la stabulation. Ce calme semble avoir facilité l’adaptation
des vaches », apprécient les éleveurs.


Doubles entrée et sortie du robot de traite

Enfin, le système de doubles entrée et de sortie du robot facilite le tri des animaux. « C’est plus simple pour gérer les vaches en retard ou à inséminer. Celles à l’isolement sont prioritaires pour passer au robot et retournent dans un box séparé. » Après six mois d’utilisation, les éleveurs affichent donc leur satisfaction : « la transition n’est pas simple. Mais, elle s’est mieux déroulée que nous ne l’imaginions ».

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