Semences
Vilmorin clôt son exercice 2011-2012 sur une belle hausse de son chiffre d’affaires
Le semencier annonce une hausse de son chiffre d’affaires de 11 %, les semences potagères, deuxième activité du groupe, étant en progression de 2,9 % à 527,2 millions d’euros.
Sur des marchés agricoles orientés favorablement, Vilmorin poursuit sa croissance tant en semences de grandes cultures qu’en potagères et réalise, à l’issue de l’année 2011-2012, une progression de chiffre d’affaires de 11 % à données comparables. Cette performance confirme la pertinence de notre modèle économique et de notre stratégie de développement de long terme, combinant innovation et accélération du déploiement à l’international », a indiqué Emmanuel Rougier, directeur général délégué de Vilmorin en présentant le bilan de sa société. Le chiffre d’affaires annuel consolidé 2011-2012 s’établit à 1 337,9 M€, en progression de 12,2 % par rapport à l’exercice précédent et de 11,1 % à données comparables. Pour la branche semences potagères, la croissance est supérieure au marché. Sur cette branche, le quatrième trimestre affiche un chiffre d’affaires de 163,7 M€ et signe un net retour à la croissance avec une progression à données comparables de 4,1 %. « Dans un environnement mondial demeurant encore sous la tension de plusieurs facteurs conjoncturels (crises sanitaire, politique et économique), Vilmorin démontre la solidité de son modèle d’organisation et de sa stratégie combinant innovation et proximité des marchés. L’ensemble des Business Units réalise des performances satisfaisantes, marquées par un développement soutenu sur leurs nouvelles zones d’expansion et une très bonne résistance sur leurs marchés de référence », peut-on lire dans le communiqué de presse du groupe. Ainsi le chiffre d’affaires annuel de la branche Semences potagères s’établit au 30 juin 2012 à 527,2 M€, en hausse de 3,3 % par rapport à l’exercice précédent (retraitée à données comparables, l’évolution est de + 2,9 %). Le chiffre d’affaires de la branche produits de jardin s’élève à 80,7 M€, en retrait de 1,5 %. L’activité a été impactée en France et au Royaume-Uni par des conditions climatiques pénalisant les loisirs de jardinage et par un environnement économique défavorable.