Primeurs : le pire a été évité
Le retard pris dans la production française de pommes de terre primeurs aurait pu entraîner une explosion des importations. Celles-ci furent plutôt limitées entre décembre 2011 et mai 2012 avec moins de 20 000 t (essentiellement d’Israël).
En revanche, les exportations se sont relativement bien portées (janvier à fin mai). Sans atteindre les chiffres de 2007/2008, elles ont atteint 25 000 t, à l’identique de la campagne précédente. La Belgique (3 000 t) et la Grande-Bretagne (2 500 t, soit dix fois plus qu’en 2010/2011) ont été deux destinations très dynamiques. En valeur, les résultats sont restés limités : 8 M€ de recettes (contre 10 M€, l’année dernière).