Oignon : un commerce conditionné par la qualité
Oignon :
Le marché est toujours à deux vitesses. Certains lots évoluent très vite avec la douceur actuelle. Ceux-là sont négociés sur des bases de prix très larges, en fonction de leur état. En revanche, les lots de belle facture se vendent à des tarifs plus élevés.
Une tendance généralisée à toutes les productions européennes. L’offre néerlandaise, notamment, présente des problèmes qualitatifs encore plus marqués.
Échalote :
Les cours expéditions se raffermissent, en répercussion à la hausse passée du cours culture breton. Pour autant, les réapprovisionnements sont assez faibles, la filière vivant actuellement sur ses stocks.
Arrivages à Rungis (S 49) : Oignon : 625,7 t dont 55,6 t d’import Echalote : 64 t (Semmaris)