Marée chanceuse
L’étude du Credoc met en parallèle les fruits et légumes et les produits de la mer. Ces derniers sont chanceux : déjà, à 44 % les consommateurs en achètent parce qu’ils les aiment bien. Contrairement aux fruits et légumes où c’est l’aspect santé qui prime. D’autre part, l’Ofimer a mené une étude approfondie sur la formation du prix où la structure des coûts est très détaillée. Ce qui fit regretter à Angélique Delahaye qu’un tel document n’existe pas pour la filière.