Comité FranceAgriMer

Les trufficulteurs veulent leur interprofession

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 8 juin 2016 - Par Julia Commandeur

La production française de truffes devrait représenter, pour 2015-2016, 30 t de Tuber melanosporum (truffe noire du Périgord) et 600 kg de Tuber uncinatum (truffe de Bourgogne). C'est ce qui est ressorti de la réunion du comité Truffes de FranceAgriMer le 24 mai. Les plantations représentent en moyenne 1 000 ha.

La filière a fait le point sur les projets en cours : une étude sur l'état du verger truffier et l'évaluation de la production, mise en place par la FFT (Fédération française des trufficulteurs) et un nouveau site Internet grand public (fft-truffes.fr). Côté expérimentation, dans le cadre de l'appel à projets 2017 de FranceAgri-Mer, le comité a défini les quatre priorités : amélioration des rendements et extension des surfaces, adaptation des modes de production aux conditions climatiques, amélioration des qualités organoleptiques, valorisation des territoires par la trufficulture.

Les trufficulteurs veulent être reconnus comme de véritables agriculteurs, et Michel Tournayre, président du comité et président de la FFT, « souhaite également engager une réflexion portant sur la création d'une interprofession de la truffe, reconnue au niveau national »

Légumes