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Emballage
L’emballage léger en bois est allé à la rencontre des grossistes

Matinée studieuse à Rungis la semaine dernière : les professionnels ont exposé leur point de vue sur l’usage du bois dans leur activité.

Le Syndicat national des industries de l’emballage léger en bois a rencontré, la semaine dernière, les professionnels du marché international de Rungis afin de faire le point sur la place de cet emballage dans la filière. Il est vrai que l’obligation d’étiquetage du bilan environnemental sur les produits alimentaires, prévue pour janvier 2011, pourrait permettre à l’emballage bois de mettre en avant son bilan carbone, unique en son genre dans le secteur. Dans la foulée d’une présence remarquée lors de la manifestation grand public Nature Capitale, le syndicat entendait ainsi approfondir les relations avec les grossistes. Une demi-douzaine d’entre eux ont suivi cette matinée et ont pu rencontrer plusieurs fournisseurs. Prince de Bretagne était venu présenter son expérience (pas moins de 20 millions de caisses par an). Sous la houlette de David Martin, le chef cuisinier et chroniqueur télé (qui s’est avéré un fin débatteur), les échanges ont porté essentiellement sur les aspects logistiques liés à l’emballage léger en bois dans les fruits et légumes, et particulièrement sa place prise en stockage vis-à-vis de son concurrent, le carton. De plus, le nouveau règlement du point Emballage du marché de Rungis (redevance d’usage établie au kilo d’emballages déposé), ce qui tendrait à favoriser le carton, plus léger que le bois, a aussi été évoqué par les grossistes présents. Pourtant, pour des produits orientés haut de gamme, le bois demeure, aux yeux de tous, l’emballage le plus valorisant.

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