L’année des ruptures

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 6 janvier 2009 - Par Olivier Masbou

Rappelez-vous : la rupture, c’était LE slogan du candidat Sarkozy. Aujourd’hui, il semble qu’il ait d’autres chats à fouetter. Mais pour la filière, 2009 sera bel et bien l’année des ruptures. Nous tentons (La filière fruits et légumes...) de dresser la liste des changements que la profession va connaître au cours des douze prochains mois. Le tableau que nous publions est impressionnant, et nous sommes conscients de ne pas voir été exhaustifs. Ce qui est frappant ce n’est pas le nombre ni l’ampleur des changements à venir. Après tout, un gouvernement est là pour faire bouger les choses. Non ce qui est choquant, c’est que rien n’est prêt. Rien de ce qui devait être opérationnel au 1^er janvier n’est installé. La réforme de l’organisation économique : 1 seule AOPn existe, alors que les comités de bassin ont officiellement disparu. FranceAgriMer : retardé pour cause d’embouteillage législatif. La réglementation phyto n’est pas mieux avancée. Et l’Europe ne fait guère mieux : il faudra attendre pour le nouveau logo bio. Quant à la disparition de vingt-six normes de commercialisation, il reste six mois à la Commission pour expliquer aux opérateurs comment ils pourront travailler sans norme. Bonne année quand même.