La Fraîch'Attitude s'offre un défi éducatif
Ateliers culinaires, dégustations, éducation nutritionnelle, jeux de piste... Les choix étaient légion dans toute la France.
Du 13 au 22 juin dernier, la Semaine Fraîch'Attitude a fêté ses dix ans. Dix ans au cours desquels le message nutritionnel et sanitaire a progressivement laissé la place au plaisir de cuisiner et de déguster, tandis que les actions se sont concentrées sur les consommateurs de demain : les enfants. « Depuis le lancement de la première Semaine Fraîch'Attitude, plus de 20 millions de personnes ont été sensibilisées, grâce aux 182 000 actions mises en place », souligne avec fierté Bruno Dupont, président d'Interfel.
Si les quiz nutritionnels, les jeux sur la saisonnalité et les tests sensoriels sont toujours de mise, la Semaine Fraîch'Attitude parie de plus en plus sur les ateliers de création culinaire. Ainsi pour la deuxième année consécutive, la Semaine est intégrée dans le programme de promotion franco-italien et le défi national “Crée, croque et Craque !” s'est déroulé dans plusieurs villes françaises (Paris, Enghien-les-Bains, Rennes, Angers, Bordeaux, Tarbes...). Les enfants ont pu y créer le “visage concombre” ou encore la “voiture fruit” avec, à la clé, de nombreux cadeaux. Une bonne façon de faire consommer des f&l aux enfants, car « ce qui est important pour eux, c'est de créer ! », souligne Hélène Kirsanoff, responsable Innovation & Réseaux d'Interfel.
« Depuis le lancement de la Semaine Fraîch'Attitude, plus de 20 millions de personnes ont été sensibilisées », souligne Bruno Dupont, président d'Interfel.
Cette Semaine était aussi l'occasion de rencontrer des professionnels de la filière, de la restauration, de la santé et de l'éducation. A travers toute la France et toujours sous le haut patronage du ministère de l'Agriculture, la Semaine Fraîch'Attitude a représenté cette année des milliers d'animations, quelque 17 000 kits de communication et des partenaires plus nombreux qui se rassemblent autour de l'enjeu de santé publique que constitue la consommation de f&l frais : les collectivités territoriales, l'éducation nationale, les établissements de restauration collective, le monde associatif (La Ligue contre le cancer...) et de nombreux distributeurs (Intermarché...).