Qualité

La DGCCRF vise les f&l moches et la vente au déballage

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 16 mars 2017 - Par Philippe Gautier

Chaque année, la DGCCRF mène une enquête sur la qualité des fruits et légumes frais afin de vérifier la conformité aux normes de commercialisation et l’information délivrée au consommateur et la restitue l’année suivante. Portant en 2015 sur plus de 13 000 visites dans 8 607 établissements frais (producteurs, expéditeurs, grossistes, distribution), l’enquête a relevé un taux d’anomalie en légère hausse (13 % des entreprises visitées). Les contrôles ont mis en évidence des infractions aux règles sur l’étiquetage (23 %), sur l’origine et la provenance des produits (19 %) et sur l’hygiène des denrées (9 %). Des pratiques commerciales trompeuses ont également été détectées dans 18 % des contrôles. La DGCCRF a porté une attention particulière au développement de la commercialisation de fruits et légumes “moches” afin qu’elle ne soit pas un prétexte pour vendre des produits de mauvaise qualité, notamment en termes sanitaires, ou mal étiquetés. Attention similaire sur la “vente au déballage” pour laquelle la DGCCRF mène une action forte de sensibilisation depuis trois ans. Au final, plus de 500 établissements ont fait l’objet de procès-verbaux.