Ardèche

La châtaigne d’Ardèche dynamique et ambitieuse

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 3 avril 2013 - Par

Catherine Brunner

La campagne 2012-2013 se termine sur un bilan satisfaisant pour la châtaigne d’Ardèche : 4 350 t ont été récoltées à des prix de vente corrects. L’AOC châtaigne d’Ardèche commence elle aussi à trouver sa place puisque plus de 500 t ont été écoulées sous l’appellation. Outre la châtaigne fraîche, l’AOC concerne aussi les châtaignes sèches et la farine de châtaignes. A l’occasion de leur assemblée générale, le comité interprofessionnel et le syndicat de défense de la châtaigne d’Ardèche ont souligné l’importance du Programme intégré de développement agricole (PIDA) mis en place de 2012 à 2015. Il permettra, en outre, aux industriels de moderniser les outils de transformation et à l’amont de développer la filière et d’augmenter les volumes produits et commercialisés sous AOC. Un thème d’autant plus important que les industriels peinent à s’approvisionner tant la châtaigne vient à manquer au niveau européen, notamment à cause de la maladie du cynips. Dans ce sens, le programme de rénovation et de plantation, initié l’an dernier, devrait permettre, à dix ans, la culture de 2 000 ha de châtaigniers, soit un volume de 2 000 t supplémentaires.