Fiscalité écologique : l’Unifa préfère une taxe aux frontières
L’Union des industries de la fertilisation (Unifa) s’alarme de la mise en place de la nouvelle fiscalité écologique qui serait défavorable à l’industrie et contre productive pour l’emploi. Elle recommande « vivement » la substitution de cet impôt par une taxe carbone payée aux frontières par les importateurs selon les mêmes critères que le système de quota de CO2. L’Unifa rappelle les efforts consentis depuis 2005 par les industries de la fertilisation ayant permis une diminution de 65 % des émissions des gaz à effets de serre.