Entendu à la GeFeL...
• Jacques Rouchaussé (Légumes de France) : Notre ministre des Finances, Emmanuel Macron, prône la TFA pour les centres techniques industriels et pas pour le CTIFL. Allez savoir pourquoi ? Si nous allons vers une CVO, il y a des problèmes de gouvernance. Nous prendrons le temps qu'il faut.
• Valérie Avril (Aneefel) : Innovations, investissements..., qu'en est-il du PIA ? Suite à l'embargo russe, nous avons été reçus par les ministères, mais nous sommes au niveau zéro des aides aux entreprises.
• Patrick Trillon (FranceAgriMer) : L'innovation et la recherche font partie d'une clé d'entrée du plan stratégique de la filière f&l, il est donc opposable vis-à-vis de l'Etat. Il nous faut chasser en meute, avec notre propre identité à chacun. La GeFeL est un outil de l'amont qui est bon pour gérer la demande. Notre vrai challenge, c'est d'anticiper et de bien capter la demande. Je vais me battre. La bagarre s'appelle promotion.
• Gérard Roche (Légumes de France) : Nous avons un statut fiscal à défendre. L'association des stations expérimentales de f&l (créée en février 2014) doit défendre le budget des stations après 2015. L'organisation économique doit donner des orientations claires pour ces stations.
• Jean-Michel Delannoy (Felcoop) : J'ai un dada, c'est la contractualisation. Tant qu'il n'y aura pas de contractualisation à l'aval, cela ne marchera pas. Quand on crée quelque chose de nouveau, on peut le présenter de manière contractuelle. Il faut réfléchir à ces innovations, la notion de prix n'existe pas dans ce cas. Mais imposer une contractualisation au premier niveau, cela n'a pas de sens en produit frais.