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A la recherche d’alternatives pour protéger le melon

Les leviers agroécologiques utilisés dans le programme Agrécomel permettent de réduire le nombre de traitements de manière très variable selon les années.

Le melon est une culture majeure, soumise à un grand nombre de problématiques phytosanitaires, variables selon les bassins de production. Si des techniques alternatives permettent de limiter partiellement la pression d’un bioagresseur, réduire fortement les indices de fréquence de traitements chimiques sur tous les bioagresseurs, tout en maintenant un résultat économique satisfaisant, reste un défi. Le projet Agrecomel tente de le relever en combinant un grand nombre de leviers agroécologiques pour espérer réduire fortement les indices de fréquence de traitement (IFT). Comme en témoignent les premières années d’expérimentation, la réussite de cet enjeu est en partie liée aux conditions météorologiques en cours pendant la culture et la prise de risque face aux risques de développement des bioagresseurs. Des efforts doivent être menés sur leur prévision afin d’anticiper les épidémies et d'appliquer au mieux les produits phytosanitaires. Faisant également appel à des pratiques agroécologiques, notamment l’utilisation de composts, le projet Synergies a permis de progresser dans les possibilités d’une gestion alternative de la fusariose.

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