Ils inséminent autrement
À l’occasion d’une journée sur la génétique caprine organisée par la chambre d’agriculture d’Ille-et-Vilaine, des éleveurs ont témoigné de leurs différentes pratiques en matière de génétique et d’insémination.

En bio depuis 2009, Serge Letendre et Christine Masson pratique l’insémination artificielle sur chaleurs naturelles.
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V. Bargain

OPTIONLeila Le Caro, conseillère caprine à la chambre d’agriculture d’Ille-et-Vilaine. « L 'insémination artificielle permet un gain de temps sur le progrès génétique par rapport à l’achat de boucs issus d’IA. Le coût moyen est de 30 €/chèvre, avec un taux de réussite en 2015 de 63 % en Alpin et 60 % en Saanen. »
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V. Bargain

Damien Le Crom pratique l’insémination artificielle sur semence fraîche : « Le plus stressant est le prélèvement du bouc ».
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En bio depuis 2009, Serge Letendre et Christine Masson pratique l’insémination artificielle sur chaleurs naturelles.
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OPTIONLeila Le Caro, conseillère caprine à la chambre d’agriculture d’Ille-et-Vilaine. « L 'insémination artificielle permet un gain de temps sur le progrès génétique par rapport à l’achat de boucs issus d’IA. Le coût moyen est de 30 €/chèvre, avec un taux de réussite en 2015 de 63 % en Alpin et 60 % en Saanen. »
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Damien Le Crom pratique l’insémination artificielle sur semence fraîche : « Le plus stressant est le prélèvement du bouc ».
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En bio depuis 2009, Serge Letendre et Christine Masson pratique l’insémination artificielle sur chaleurs naturelles.
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