Du nouveau sur le pâturage des chèvres
La recherche agronomique cherche à mieux connaître le comportement alimentaire et les performances des chèvres au pâturage. Aperçu des recherches en cours.
L’accéléromètre placé autour du cou des chèvres permet d'enregistrer les temps effectif d'ingestion.
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J. Jost
Stéphanie Kaminski a partagé son expérience lors d’une journée ferme ouverte organisée par le REDCap.
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J. Jost
A condition de gérer le parasitisme, le pâturage peut offrir une alimentation bon marché et souple d'utilisation.
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J. Jost
Des travaux sont actuellement menés par l’Institut de l’Élevage (station du Pradel en Ardèche) et l’Inra (essais analytiques à l’UMR Pégase à Rennes et essai système à Patuchev-UE Ferlus à Lusignan) dans le cadre du Casdar CAPHerb et du PSDR Flèche, afin d’estimer de façon plus précise l’ingestion d’herbe au pâturage par la chèvre et ses facteurs de variation (temps d’accès, quantité d’herbe verte offerte, nature de la prairie pâturée, stratégie de complémentation azotée, pâturage d’automne, mise à disposition d’eau au pâturage…). La technique du pâturage est en effet pénalisée par la difficulté actuelle d’estimer les ingestions et les substitutions au pâturage.