Aller au contenu principal

Prix des vignes 2024 : quelle évolution par région ?

La Safer a livré son bilan 2024 du prix des terres viticoles. La tendance générale est à la baisse des prix mais le nombre de transactions a moins diminué que l’an dernier tandis que le cumul des surfaces s’est stabilisé. Tour de France des évolutions d'ouest en est.

Selon le bilan 2024 de la Safer, la valeur de l'ensemble des transations viticoles a baissé de près de 5 % par rapport à 2023.
© C. Gerbod

 

CONSEIL DE LECTURE DES GRAPHIQUES : vous pouvez cliquer sur les éléments de la légende pour faire disparaître ou réapparaître les courbes correspondantes. Graphiques faits avec l'outil Flourish.

 

Sur l’année 2024, 16 000 hectares de vigne se sont vendus avec un cumul de 8 650 transactions, selon le bilan 2024 du prix des terres agricoles de la Safer. Cette surface totale est stable par rapport à 2023 où elle avait reculé de 13 %. Le marché s’est aussi moins contracté en nombre de transactions avec un recul de 1,4 % contre 7,6 % l’an dernier. Mais la valeur globale a diminué de 4,8 % pour s’établir à 1,1 milliard d’euros. Comme toujours, des vignobles font exception, mais la tendance à la baisse est assez générale.
 

Prix des vignes en Val de Loire-Centre : un marché relativement actif

Dans les vignobles du Val de Loire-Centre, 3,4 % des surfaces de vignes se sont échangées en 2024, une proportion record par rapport aux autres vignobles, la moyenne générale étant à 2 %. Il y a moins de transactions (- 9 %) mais une surface (+ 4,7 %) et une valeur (+ 6,6 %) globales en hausse. Il y a toujours de fortes disparités selon les vignobles. 

PAYS NANTAIS 

Le vignoble du Muscadet subit fortement l’impact des aléas climatiques. La Safer estime que « 500 hectares de vignes devraient être arrachés en 2025 », à la fois via le plan national d’arrachage et l’abandon de parcelles gélives. Le prix se maintiennent relativement sous l’effet de cette réduction de surface, des restructurations parcellaires et d’un renouveau de l’appellation. 

 

 

ANJOU-SAUMUR ET TOURAINE

Sur le secteur Anjou-Layon, les appellations saumur (- 23 %) et saumur-champigny (- 21 %) connaissent une chute des prix à l’hectare importante. Mais la Safer note que sur l’AOP saumur, « quelques domaines sont transmis à des valeurs reflétant le marché des années antérieures ». Il y a toujours une demande sur des petites surfaces situées dans des appellations réputées de la part de porteurs de projets.

Dans le Loir-et-Cher, les prix baissent du fait d’une offre supérieure à la demande, mais le marché est actif avec des transactions en hausse en nombre et en surface totale. Elles se concentrent sur l’appellation touraine ; l’AOP touraine-chenonceaux attire. Les cessations d’activités motivent des restructurations de la part de viticulteurs en place, d’où une proportion de 80 % de ventes de parcellaires de moins de 1 hectare. Le nombre de parcelles de vignes à louer augmente, signe de stratégies de baisse de surface de production de certaines exploitations.

En Indre-et-Loire, l’AOP bourgueil illustre l’impact climatique avec des terroirs gélifs situés en bord de Loire qui n’arrivent pas à se vendre et des prix stables par ailleurs. L’appellation montlouis se distingue avec une hausse des prix (+ 8 %) suscitée par un certain dynamisme du vignoble. 

 

 

CENTRE LOIRE 

L’appellation reuilly affiche une hausse de 29 % sur l’Indre. De jeunes viticulteurs dynamisent le vignoble. La demande de vignes est soutenue mais les transactions peu nombreuses. 

Peu de transactions pour les vignes en pouilly-fumé ou coteaux-du-giennois sur le secteur de la Nièvre mais les vignes de cédants partant en retraite trouvent preneur auprès de grosses structures de négoce, ce qui soutient les prix.

Bien qu’il y ait peu de transactions, les terres en appellations menetou-salon, quincy et reuilly sont recherchées dans le Cher. La jeune appellation châteaumeillant (90 hectares) voit sa dynamique contrecarrée par des épisodes de gel.  

Dans le Sancerrois, la Safer observe, « malgré une année 2024 compliquée et les incertitudes sur le marché », une forte pression sur le prix des quelques biens libres. 

 

 

LOIRE VOLCANIQUE 

Les transactions sont rares donc les données peu significatives sur l’ensemble de la zone Auvergne, Forez et Pays Roannais. La Safer indique que pour les vignes en saint-pourçain (17 000 euros/ha), les disparités reposent sur la qualité des vignes, les cépages et la situation. Des arrachages sont engagés. 

Côtes-du-forez et côte-roannaise atteignent, en 2024, le même prix annuel, à savoir 12 000 euros/ha.

Un certain dynamisme caractérise les appellations côtes-d’auvergne (prix de 15 000 euros/ha) même si le marché est limité et le prix hétérogène selon les terroirs et les cépages. Des terres à vigne hors zone AOP sont recherchées pour des installations en vin nature.

 
 

Prix des vignes en Charentes : le grand reflux

En Charente et Charente-Maritime, la situation s’est retournée par rapport à 2022, face au recul des expéditions de cognac. Les perspectives très incertaines et les stocks importants amplifient la tendance. Il y a eu 13,6 % de transactions en moins en 2024 par rapport à 2023 et elles ont diminué de 39 % en surface et de 42 % en valeur. 

En Charente, il est observé une baisse des valeurs minimales des prix à l’hectare de 20 à 25 % selon les crus. Avec l’arrivée importante de surfaces de vignes sur le marché, compte tenu de la crise ainsi que de la pyramide des âges, la Safer projette une poursuite du recul des prix.

 
 

Prix des vignes dans le Bordelais : un recul général

En Gironde, la Safer annonce qu’en valeur, « le marché des vignes (cessions d’actifs uniquement) atteint un plancher historique à 175 millions d’euros, correspondant à la moitié de la valeur de 343 millions d’euros enregistrée en 2022 ». Le prix par hectare de bordeaux blanc rejoint celui du bordeaux rouge, soit 8 000 euros par hectare. C’est désormais la valorisation affichée pour un hectare de vigne en AOP blaye-côtes-de-bordeaux, côtes-de-bourg, castillon et francs-côtes-de-bordeaux mais les prix peuvent atteindre 12 000 à 13 500 euros/ha pour certaines parcelles qualitatives.

Dans le Libournais, les transactions ont du mal à aboutir, notamment sur Saint-Émilion. Le décalage entre l’offre pléthorique et la demande très faible implique des baisses de prix violentes pour les vignes en appellations lussac et puisseguin (plus de 50 % de baisse). 

 

En AOP pessac-léognan, les prix sont relativement stables. Ce n’est pas le cas des AOP graves, dont le prix moyen a reculé pour atteindre 25 000 euros/ha, pour le blanc comme le rouge. Sauternes se stabilise par rapport à 2023.

En Médoc, la baisse fait tache d’huile. Le prix des parcelles en AOP médoc perd ainsi plus de 40 % par rapport à 2023 et s’établit à 14 000 euros/ha. Les prix des AOP haut-médoc suivent la tendance (- 44 %) tout comme ceux de listrac (- 50 %) ou moulis (- 43 %). Les appellations plus prestigieuses comme pauillac (- 17 %), margaux (- 7 %) ou saint-estèphe (- 20 %) sont désormais concernées. Seuls les meilleurs terroirs trouvent preneur.

 
 

Prix des vignes en Dordogne et Lot-et-Garonne : un manque de repreneurs

En Dordogne, le manque d’acquéreurs est toujours patent. On observe soit de l’arrachage avant revente, soit des installations dans le cadre familial et parfois, selon la Safer, « des achats de fortunes viticoles bordelaises souhaitant diversifier leur gamme ». Le prix des vignes a encore baissé pour les rouges. Les blancs se portent un peu mieux. La valorisation des hectares de monbazillac est freinée (- 7 %).

À Buzet, les demandes d’arrachage sont nombreuses, souligne la Safer. En AOP côtes-de-duras, les quelques transactions correspondent à des petites surfaces échangées dans le cadre de restructurations parcellaires.

 
 

Prix des vignes dans le Sud-Ouest : peu de ventes

Dans le Sud-Ouest, le marché foncier viticole recule en nombre de transactions (- 3,5 %), en surface (- 9,6 %) et surtout en valeur (- 30,3 %). Le vignoble subit les conséquences d’un cumul d’aléas climatiques impactant fortement les rendements et de la mévente des vins rouges. Le prix moyen des vignes AOP est en baisse de 9,1 % par rapport à 2023. 

 

Dans le vignoble des côtes-de-gascogne, la Safer observe « un afflux de biens mis sur le marché », conséquence de résiliations de baux anticipée, de projets de vente soudains ou encore de conclusions de commodats ou prêts à usage sur des vignes. L’arrachage attire peu car le potentiel commercial de ce blanc IGP n'est pas en cause.

 

Comme en 2023, les vignes de l'appellation aveyronnaise marcillac sont demandées. Selon le document de la Safer, « les meilleures parcelles semblent se négocier aujourd’hui au-delà de 25 000 euros l’hectare ». Et ce, malgré les aléas climatiques qui n’ont pas épargnés le vignoble. 

Le Lot, qui cumule également les problèmes climatiques depuis plusieurs millésimes, est engagé à hauteur de 16 % dans le plan d'arrachage pointe la Safer. Elle fait état d’un « léger frémissement du marché » sous l’effet d’investisseurs d’autres régions attirés par des « domaines possédant des terroirs d’exception » mais aucun prix n'est indiqué pour 2024, faute d'un volume significatif de transactions.

À Fronton, le rosé entretient une certaine dynamique, selon la Safer. Si le prix moyen des transactions recule en AOP gaillac et sur l’IGP comté-tolosan, la Safer a constaté des transactions motivées par des consolidations ou aménagements parcellaires et des installations réalisées ou à venir sur 2025.

 

Prix des vignes en Languedoc-Roussillon : une baisse sensible de la valeur des vignes

Les ventes de vignes sont en baisse dans le bassin Languedoc-Roussillon en 2024. On observe moins de transactions qu’en 2023 en nombre (- 2,9 %) et en surface (- 1,4 %) et surtout en valeur (- 19,5 %). La Safer invoque les aléas climatiques, notamment la sécheresse, ainsi que la désaffection pour les rouges. Le prix moyen des vignes en AOP diminue de 5,1 %. Les vignes en AOP picpoul-de-pinet font exception (+ 3 %). Le prix des vignes en IGP ou sans IG est stable ou en baisse. Un nombre important de vignes se destine à l’arrachage, surtout les moins productives.

 

Dans le Gard, la Safer constate « peu de demande pour un maintien en viticulture, mais plutôt pour des changements de filière ».

 

 

Dans les Pyrénées-Orientales, face au manque d’eau qui plombe les rendements, le potentiel d’irrigation influence le prix du foncier. « Des transactions importantes sur les secteurs irrigables sont réalisées pour la réorientation vers une production arboricole », analyse la Safer.

 
 

Prix des vignes en Provence : un maintien malgré le contexte commercial

Dans le Var, la Safer remarque « une offre de domaines viticoles beaucoup plus importante que ces dernières années et des demandes plus rares », mais tout de même toujours une forte activité alors que le marché du rosé est plus difficile. Les achats de domaines sont souvent l’objet d’opérateurs qui ont des réseaux commerciaux puissants et renforcent leur offre. La demande de parcellaire est toujours soutenue pour des consolidations de domaines.

Le marché se ralentit dans les Bouches-du-Rhône surtout pour les IGP mais là aussi, l'AOP côtes-de-provence reste très attractive, avec un nombre important de candidats à l'acquisition.

 
 

Prix des vignes en Corse : peu d’activité

En Corse, seulement 0,8 % des vignes se sont échangées en 2024, soit une surface de 50 hectares. Difficile donc de dessiner une tendance. En conséquence, le prix des vignes est issu de dires d’expert.

 
 

Prix des vignes en Vallée du Rhône : des situations hétérogènes

Sur l’ensemble du vignoble rhodanien, il y a peu de demande en AOP côtes-du-rhône, sauf pour quelques projets de restructuration. 

 

L’accès au réseau d’irrigation dynamise le marché des AOP costières-de-nîmes (+ 27 %), que ce soit pour le maintien de la vigne ou la conversion vers du maraîchage ou de l’arboriculture.

Si le marché des vignes sans IG ou en IGP se réduit, la Safer remarque des dossiers en IGP méditerranée dans le Luberon. Dans ce vignoble, les vignes en coopération sont plus sujettes à la crise que celles en caves particulières, qui sont plus à même de surfer sur l’attractivité touristique de la région. L’AOP ventoux garde un certain attrait malgré la crise.

Le marché a été relativement actif pour l’AOP rasteau en 2024, avec une trentaine d’hectares à la vente. Le critère de résistance à la sécheresse des parcelles est majeur. Le dynamisme foncier s’essouffle en revanche sur les AOP cairanne et vacqueyras. Idem en AOP gigondas mais sur la fin de l’année. L’AOP châteauneuf-du-pape s’illustre par une forte activité foncière et des prix toujours très élevés (+ 2 %). Un tri se fait toutefois selon le terroir et l’état des vignes.

 

Au nord du vignoble rhodanien, le marché est confidentiel en AOP côte-rôtie mais la hausse des prix se poursuit (+ 8 %), preuve que toutes les AOP rouges ne sont pas à la même enseigne. Le marché est aussi toujours sur une tendance haussière en AOP saint-joseph (+ 7 %) avec un intérêt surtout pour des vignes mécanisables. Dynamique maintenue également en AOP crozes-hermitage avec un prix moyen qui atteint 155 000 euros/ha suite à une hausse de 3 %.

 
 

Prix des vignes en Beaujolais : un resserrement du vignoble

Suite à l’année climatiquement compliquée en Beaujolais, la Safer anticipe que des viticulteurs vont se « séparer de certaines parcelles dans l’optique de se restructurer et de renforcer leur trésorerie ». Elle estime que ce souhait s’observe plus particulièrement en agriculture biologique. 

La demande de terres pouvant être plantées en blanc crée une certaine dynamique. Les sols calcaires du sud du Beaujolais sont les plus recherchés, ce qui « conduit à une stabilisation des prix aux alentours de 40 000 euros/ha », remarque la Safer. Les terres en AOP beaujolais et beaujolais-villages sont touchées par la crise des rouges. Toutefois, des parcelles mécanisables se vendent, dans des fourchettes de prix variant entre 7 000 et 11 000 euros/ha. 

Les crus sont stables.

 
 

Prix des vignes en Savoie et Bugey : un calme plat

Le faible nombre de transactions ne permet pas de dresser des tendances dans le vignoble savoyard

Dans l'Ain, avec un prix moyen de 15 000 euros/ha, les vignes du Bugey affichent tout de même une hausse de 15 % (prix moyen de 15 000 euros/ha).

 
 

Prix des vignes en Jura : la demande est toujours soutenue

Seulement 50 hectares se sont échangés en 2024 dans le Jura. La demande de terres à planter reste forte, malgré les aléas climatiques qui n’épargnent guère le vignoble. Les vignes en AOP arbois (50 000 euros/ha) et château-chalon (55 000 euros/ha) sont les plus valorisées.

 
 

Prix des vignes en Bourgogne : l’or blanc des vignes

La valorisation des hectares de vigne ne connaît pas la crise en Bourgogne, en 2024. Les prix continuent d’augmenter. Ils sont influencés par le marché sociétaire.

Les appellations de Côte d’Or sont toujours en hausse. Le prix moyen des vignes en appellations communales côte-de-beaune dépasse la barre du million d’euros par hectares pour les blancs en gagnant encore 9 % en un an (1 050 000 euros/ha). Pour la catégorie bourgogne premier cru blanc, la progression de 13 % porte le prix par hectare à plus de 2,5 millions d’euros. Selon la Safer, « la majorité des ventes constatées concerne des parcelles occupées ».

 

L'hectare de bourgogne aligoté gagne 17 % en Saône-et-Loire, dopé par le crémant, et celui de mâcon blanc est à + 7 %. Les vignes de pouilly-fuissé, saint-véran ou viré-clessé, déjà fortement valorisées, progressent encore.

 

 

La fièvre blanche s’observe aussi dans le Chablisien. Le peu de transactions incite à regarder les chiffres avec prudence mais les vignes en AOP chablis voient leur prix à l’hectare gagner 20 % et celles en petit-chablis de 34 %.

Les vignes de rouge sont aussi en hausse. Les appellations communales côte-de-beaune et côte-de-nuits en rouge sont respectivement à + 7 % et + 9 % ; le bourgogne premier cru rouge à + 9 %. La situation est toutefois moins faste pour les vignes en mâcon rouge (stabilité).

 

Prix des vignes en Champagne : la prudence s’installe

En 2024, les transactions ont baissé en Champagne, que ce soit en nombre (- 1,5 %), en surface (- 23 %) ou en valeur (- 4,7 %). Mais le prix moyen des vignes gagne tout de même 1,7 %. Seuls les prix en Côte des Blancs reculent (- 3 %) mais il faut dire que c’est là où ils sont les plus élevés (1,6 million d’euros/ha). Par contraste, le vignoble du Sud Marnais, est qualifié de « toujours très attractif » par la Safer, et une hausse significative des surfaces vendues et des prix y est enregistrée. Dans l’Aisne, la Safer note que les maisons de champagne « ont réduit leurs opérations foncières au second semestre ».

 
 

Prix des vignes en Alsace :  une baisse des prix s’amorce

Il y a eu davantage de transactions en 2024 qu’en 2023 (+ 2,6 %) en Alsace mais les surfaces échangées et leur valeur ont baissé sensiblement. La tendance de prix est à la baisse dans le Haut-Rhin et augmente dans le Bas-Rhin, mais ce qui compte surtout c’est la qualité du terroir et le cépage. La Safer observe que nombre de viticulteurs essayent de se recentrer sur leur foncier le plus rentable et d’élaguer le reste ou de regrouper leur parcellaire en procédant à des échanges. Elle considère qu’un « mouvement baissier est clairement enclenché » dans ce vignoble.

 

Les plus lus

<em class="placeholder">Jean-Chrisophe Delavenne, viticulteur champenois bio dans ses vignes</em>
« La lithothérapie me permet de diminuer mon nombre de traitements dans les vignes »
Jean-Christophe Delavenne, viticulteur champenois bio, expérimente la lithothérapie depuis quatre ans. Il n’y voit pratiquement…
<em class="placeholder">Bricolage de griffes interceps.</em>
Astuce de vigneron : « J’ai bricolé des griffes interceps pour venir à bout du chiendent dans mes vignes étroites »
Édouard Fontan, vigneron au Château l’Ermitage, à Preignac, en Gironde, a fabriqué un petit outil intercep pour éliminer le…
Immatriculations 2024 - Le marché des tracteurs enjambeurs en hausse

A contre-courant des autres familles de machines agricoles, le marché des tracteurs enjambeurs a connu en 2024 une hausse des…

<em class="placeholder">Vignoble expérimental en Italie avec essai sur les hydrorétenteurs.</em>
Les hydrorétenteurs préparent leur grand retour dans les vignes
Une nouvelle génération de polymères super-absorbants issus de matériaux biologiques est en train de naître. Un espoir pour…
Vignes en Entre-deux-Mers
Prix des vignes 2024 : la baisse se généralise

Le mouvement de baisse des prix moyens à l’hectare entamé en 2022 se poursuit en 2023, selon le bilan Prix des Terres 2024 de…

Oïdium de la vigne sur grains de raisin
Comment lutter contre l’oïdium de la vigne ? Toutes les réponses à vos questions

L'oïdium de la vigne est, avec le mildiou, l’un des ennemis principaux des viticulteurs depuis son introduction en France.…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 96€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Vigne
Consultez les revues Réussir Vigne au format numérique sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters des filières viticole et vinicole