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Evel’Up et Agrial confirment leur rapprochement

Les présidents des coopératives Agrial (Arnaud Degoulet) et d’Evel’Up (Philippe Bizien) ont apporté durant le Space quelques détails sur le rapprochement des deux structures déjà annoncé en juin. 

Arnaud Degoulet (à gauche) et Philippe Bizien. «Nos échanges nous permettent d’envisager un premier rapprochement opérationnel début 2024.»
Arnaud Degoulet (à gauche) et Philippe Bizien. «Nos échanges nous permettent d’envisager un premier rapprochement opérationnel début 2024.»
© D. Poilvet

Les présidents des coopératives Agrial (Arnaud Degoulet) et d’Evel’Up (Philippe Bizien) ont apporté durant le Space quelques détails sur le rapprochement des deux structures déjà annoncé en juin. 

Lire aussi Le groupement porc Evel’Up vise 3 euros en prix de base

Juridiquement, l’OP porc d’Agrial deviendra une section de la coopérative Evel’Up. « Nos échanges nous permettent d’envisager un premier rapprochement opérationnel début 2024 », ont-ils déclaré lors d’une conférence de presse. « À partir du 1er janvier, un seul opérateur assurera la commercialisation de l’ensemble des porcs produits par les adhérents des deux structures. » Les équipes apportant des services vont également se restructurer. « Nous allons nous mettre autour d’une table et regarder nos complémentarités pour apporter un service de qualité à tous nos éleveurs. »

4,15 millions de porcs par an

Ce regroupement va créer la seconde OP porc française en taille, avec 1 040 éleveurs installés sur un grand quart nord-ouest de la France, et 4,15 millions de porcs commercialisés par an. Les deux dirigeants mettent en avant une « logique de filière au cœur de la philosophie des deux coopératives », avec notamment des éleveurs engagés en label rouge, Cochon de Bretagne, Porc petit-lait, et sans antibiotiques. Ils pourront s’appuyer sur les activités de charcuterie de la branche viandes d’Agrial (30 000 t/an). « Si tout se passe bien, nous pourrons envisager une fusion à terme. Mais aucun calendrier n’est établi à ce jour », conclut Philippe Bizien.

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