Les galères d’une ligne haute tension
Pendant dix ans, Jean-Michel Meyer en Moselle a subi des pertes de production, des mortalités inexpliquées… attribuées à une ligne haute tension. L’intervention d’un géobiologue a remis les choses en ordre.
Pendant dix ans, Jean-Michel Meyer en Moselle a subi des pertes de production, des mortalités inexpliquées… attribuées à une ligne haute tension. L’intervention d’un géobiologue a remis les choses en ordre.



Je suis éleveur laitier et cela fait dix ans que je vis un enfer, suite à l’implantation d’une ligne 400 000 volts à 500 mètres de ma ferme », nous écrivait il y a quelque temps Jean-Claude Meyer, éleveur à Sarraltroff (Moselle). Il dressait une longue liste des maux que subissait son troupeau à chaque mise à l’herbe et nous expliquait comment, en octobre 2016, il a fait intervenir un géobiologue, sur les conseils du GDS. Il a posé de grosses pierres dans les parcs pour neutraliser une faille géologique qui, selon lui, propageait les champs électromagnétiques de la ligne électrique. Depuis, beaucoup de difficultés ont disparu. La géobiologie a ses défenseurs et ses détracteurs. Mais, force est de constater qu’elle a apporté une solution là où personne n’en voyait. « Je n’y croyais pas du tout, admet Olivier Mathieu, le conseiller de l’élevage. Mais, suite à la pose de ces blocs, il y a eu une nette amélioration. »