Aller au contenu principal

L’antiparasitaire Eprinex Multi homologué en ovin (METTRE PETIT LOGOSANTEANIMALE

L'Eprinex Multi sera diponible à partir de 2017 en quatre format : 250 ml, 1 l, 2,5 l ou 5 l. © Merial
L'Eprinex Multi sera diponible à partir de 2017 en quatre format : 250 ml, 1 l, 2,5 l ou 5 l.
© Merial

Le laboratoire Merial a redéposé une demande d’autorisation de mise sur le marché (AMM) pour son antiparasitaire bovin Eprinex à base d’eprinomectine. La nouvelle AMM d’Eprinex, renommé Eprinex Multi, inclut désormais l’utilisation pour les cheptels ovins et caprins. Actif en ovin contre la majorité des nématodes gastro-intestinaux et contre les strongles pulmonaires, Eprinex a aussi fait ses preuves depuis 1997 en bovin contre les parasites internes et externes tels que mouches, poux ou acariens.

Délai d’attente nul en lait et de deux jours en viande

L’AMM d’Eprinex Multi prévoit un délai d’attente nul en lait et de deux jours en ovin viande. « Eprinex était auparavant prescrit dans le cadre de la cascade en ovin laitier et apprécié par les éleveurs et les vétérinaires, observe Sophie Beillon, chef de produits ruminants chez Merial. Mais il avait alors un délai d’attente forfaitaire de sept jours pour le lait. Cette molécule supplémentaire dans l’arsenal thérapeutique permettra de traiter en période de lactation et d’alterner plus facilement les traitements antiparasitaires pour retarder l’apparition de résistance aux anthelminthiques ». Soumis à prescription vétérinaire, Eprinex Multi sera commercialisé à partir du premier semestre 2017. Disponible en flacon ou bidon de 250 ml, 1 l, 2,5 l et 5 l, il s’applique en pour-on, sur le dos des animaux, à l’aide d’un pistolet spécial pour les petits ruminants.

Les plus lus

Maxime Taupin
« On a beaucoup diversifié, j’ai besoin de revenir au métier d’éleveur ovin »
Maxime Taupin est en Gaec avec ses parents sur une exploitation multi-ateliers, entre troupe ovine, grandes cultures, vente…
Agneaux à l'engraissement en Afrique du Sud
De l’intérêt des levures dans la ration des brebis et des agneaux
Le fabricant de levures Lallemand présentait une série d’études confirmant l’intérêt de l’ajout de levures vivantes dans la…
<em class="placeholder">Florent et Charles Souyris et Philippe Galtier, Gaec de Cuzomes</em>
Aveyron - « Nous avons investi pour travailler 35 heures par semaine dans notre élevage ovin »
Dans l’Aveyron, les trois associés du Gaec de Cuzomes montrent comment ils ont optimisé la productivité du travail et la…
Guillaume Maman
« J’ai créé un atelier ovin complémentaire des grandes cultures avec un minimum d’investissement »
Dans le nord-est de l’Aube, Guillaume Maman a repris l’exploitation familiale orientée grandes cultures et a créé un atelier ovin…
Manon Fleuroux élève un troupeau de 60 brebis
« Nous devons nous réapproprier la mort de nos animaux »
Manon Fleuroux élève un troupeau de 60 brebis à Montréal dans l’Aude et est engagée dans la création d’un abattoir mobile. Suivie…
Samuel Bulot, président de l’Institut de l’élevage.
« L’Institut de l’élevage doit venir dans les cours des fermes »
Samuel Bulot a été élu président de l’Institut de l’élevage le 13 juin. Éleveur laitier bio en Côte-d’Or, il mesure l’…
Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 90€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir Pâtre
Consultez les revues Réussir Pâtre au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter Réussir Pâtre