Aller au contenu principal

Deux ans pour préparer le mondial de tonte en France

À l’occasion du salon de l’agriculture, l’Association pour le mondial de tonte a présenté son programme pour les deux années à venir.

 © gutner  archive
© gutner archive

C’est officiel depuis le 8 février dernier, le prochain championnat mondial de tonte de mouton aura lieu en France, au Dorat dans la Haute-Vienne la première semaine de juillet 2019. L’Association pour le mondial de tonte de mouton (AMTM) a donc profité du salon de l’agriculture pour présenter aux médias et au grand public son programme pour les deux années à venir. Et le programme va être chargé…

Selon Nicolas Faurie de l’AMTM, "le comité de sélection néo-zélandais a été agréablement surpris par la candidature, qu’ils ont trouvée dynamique, enthousiaste et originale. Ils nous ont même dit qu’ils n’avaient jamais vu ça". L’implication des collectivités et du ministère de l’Agriculture a aussi été appréciée par le comité de sélection. Comme tous les pays organisateurs, la France a dû se choisir un parrain parmi les anciens pays organisateurs. Ils ont choisi le Pays de Galle car il y a "beaucoup d’échanges entre les tondeurs français et gallois".

"En faire un vrai événement sportif"

Pour l’AMTM, l’objectif est maintenant de continuer à surfer sur l’engouement que l’annonce de l’organisation du mondial en France a créé, notamment auprès du grand public. Pour Nicolas Faurie, il faut continuer à communiquer et à faire de ce mondial un événement grand public. "Il faut en faire un vrai événement sportif et inciter les gens à voir la tonte comme un sport, à aller voir un concours comme on va voir un match de foot". Le programme de l’AMTM va donc être chargé pour cette année 2017 : salon de l’agriculture d’Aquitaine le 22 mai, organisation du record de France du nombre d’agneaux tondus en 88 heures et salon Tech-ovin en septembre prochain. L’organisation de Tech-ovin et l’AMTM n’excluent d’ailleurs pas, selon Nicolas Faurie, de coupler l’organisation du mondial et du salon en 2019.

Les plus lus

Agneaux à l'engraissement en Afrique du Sud
De l’intérêt des levures dans la ration des brebis et des agneaux
Le fabricant de levures Lallemand présentait une série d’études confirmant l’intérêt de l’ajout de levures vivantes dans la…
<em class="placeholder">Florent et Charles Souyris et Philippe Galtier, Gaec de Cuzomes</em>
Aveyron - « Nous avons investi pour travailler 35 heures par semaine dans notre élevage ovin »
Dans l’Aveyron, les trois associés du Gaec de Cuzomes montrent comment ils ont optimisé la productivité du travail et la…
Guillaume Maman
« J’ai créé un atelier ovin complémentaire des grandes cultures avec un minimum d’investissement »
Dans le nord-est de l’Aube, Guillaume Maman a repris l’exploitation familiale orientée grandes cultures et a créé un atelier ovin…
Manon Fleuroux élève un troupeau de 60 brebis
« Nous devons nous réapproprier la mort de nos animaux »
Manon Fleuroux élève un troupeau de 60 brebis à Montréal dans l’Aude et est engagée dans la création d’un abattoir mobile. Suivie…
Samuel Bulot, président de l’Institut de l’élevage.
« L’Institut de l’élevage doit venir dans les cours des fermes »
Samuel Bulot a été élu président de l’Institut de l’élevage le 13 juin. Éleveur laitier bio en Côte-d’Or, il mesure l’…
Ludovic Gilbert et Théo Haller
"Reprendre la ferme de papy, du rêve à la réalité"
Depuis son enfance, Théo Haller a rêvé de reprendre l’exploitation de son grand-père maternel décédé lorsqu’il avait dix ans,…
Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 90€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir Pâtre
Consultez les revues Réussir Pâtre au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter Réussir Pâtre