Retour sur terre

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 2 novembre 2012 - Par Marianne Roumégoux

Les matières premières n’ont plus la cote ! Les banques se détourneraient en effet du trading de ces produits, devenus moins lucratifs, pour se recentrer sur des activités plus sûres, selon Les échos. En 2008, toutes ont voulu en croquer. Les organismes financiers, qui ont alors monté des équipes dédiées, mais généralistes et travaillant « à des fins spéculatives », remercieraient désormais leurs traders. De jeunes recrues qui trouveraient refuge chez les industriels, et qui saluent volontiers ce retour au monde réel. Des transactions « concrètes » de couverture d’échanges physiques, des rapports « directs » avec les opérateurs, leur quotidien y est révolutionné, témoigne un opérateur de chez Soufflet. Quant à savoir si cette mutation pourrait influer sur les marchés, il faudrait connaître le poids des banques sur les places électroniques pour le mesurer... Mais cela, le règlement ne le permet toujours pas.