Aller au contenu principal

Un vote à l’issue encore incertaine au Parlement européen

 En se mettant d’accord sur l’architecture verte de la future Pac, les trois plus importants groupes politiques du Parlement européen (démocrates-chrétiens du PPE, sociaux-démocrates et centristes de Renew) ont permis de limiter le nombre d’amendements soumis au vote en plénière les 21, 22 et 23 octobre. Le débat n’en reste pas moins compliqué.

 En se mettant d’accord sur l’architecture verte de la future Pac, les trois plus importants groupes politiques du Parlement européen (démocrates-chrétiens du PPE, sociaux-démocrates et centristes de Renew) ont permis de limiter le nombre d’amendements soumis au vote en plénière les 21, 22 et 23 octobre. Le débat n’en reste pas moins compliqué.
 En se mettant d’accord sur l’architecture verte de la future Pac, les trois plus importants groupes politiques du Parlement européen (démocrates-chrétiens du PPE, sociaux-démocrates et centristes de Renew) ont permis de limiter le nombre d’amendements soumis au vote en plénière les 21, 22 et 23 octobre. Le débat n’en reste pas moins compliqué.
© JC Gutner/Illustration

L’avalanche crainte par certains eurodéputés n’aura finalement pas eu lieu. Ce sont, seulement, quelque 600 amendements aux trois projets de rapports parlementaires sur les propositions de la Commission européenne pour la future Pac – plans stratégiques, OCM unique et règlement horizontal (sur la gestion et le financement) – qui seront soumis au vote du Parlement en plénière les 21, 22 et 23 octobre. Une limite de 1 050 amendements avait été fixée, faute de quoi le vote aurait dû se prolonger lors de la session du mois de novembre. Finalement, le compromis trouvé entre les trois principaux groupes politiques sur le sujet central de cette future Pac – l’architecture verte – a permis de limiter le volume d’amendements déposés.
Ce compromis prévoit notamment de consacrer 30 % des aides directes aux éco-régimes du premier pilier. Une flexibilité est prévue permettant de transférer jusqu’à 12 % de ces fonds vers le second pilier dans le cas où ils ne seraient pas entièrement dépensés. Dans l’autre sens, 5 % pourront être transférés des mesures agroenvironnementales du second pilier vers les éco-régimes (et même 12 % pour les pays dont le niveau de soutien direct est inférieur à la moyenne européenne). « Ce transfert ne doit toutefois pas être supérieur au montant nécessaire pour aligner leur niveau moyen d’aide nationale par hectare sur la moyenne de l’UE », précise le texte.

Les plus lus

Famille de concessionnaire FENDT devant les tracteurs de sa concession.
Jeanne Monreysse poursuit l’aventure familiale

Avec Jeanne Monreysse, une nouvelle génération rejoint le siège du concessionnaire FENDT du Cantal. 

vue aérienne de terres agricoles
Fermages 2025, l’évolution des méthodes de calcul

Propriétaires bailleurs et fermiers doivent redoubler d’attention : le calcul des fermages évolue. Longtemps limité à l’…

Des personnes regardent l'agricultrice donner à manger à ses vaches
Diversification, le plaisir de faire visiter sa ferme

Quelles sont les motivations d’Alexandra Berthon à faire visiter sa ferme ? Tel était le sujet d’une visite au Gaec du Mont…

Géobiologie : rétablir les bonnes ondes en élevage

Loin des idées reçues, la géobiologie s’impose à nouveau comme un appui pour prévenir stress, baisse de production et…

veaux laitiers.
Comment développer l'engraissement des veaux laitiers en Auvergne-Rhône-Alpes ?

Afin de mieux caractériser les pratiques d’engraissement des veaux laitiers à l’échelle régionale, les éleveurs sont invités à…

Rats taupiers : activité saisonnière ou futur rebond ?

Les campagnols terrestres sont plus actifs cet automne dans le Cantal, même masqués par les taupes ou l’herbe restée haute. …

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 100€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir lait
Profitez de l’ensemble des cotations de la filière Réussir lait
Consultez les revues Réussir lait au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de la filière laitière