Aller au contenu principal

« Petit abattoir ne signifie pas mauvais travail »

La commission d’enquête sur les conditions d’abattage des animaux poursuit les visites inopinées d’abattoirs dans le Massif central. Fin juillet, deux de ses membres, les députés Arnaud Viala et Pierre Morel-à-l’Huissier ont visité celui de Sainte-Affrique.

Ces visites doivent alimenter les travaux des élus et de la commission d’enquête sur les conditions d’abattage des animaux.
Ces visites doivent alimenter les travaux des élus et de la commission d’enquête sur les conditions d’abattage des animaux.
© Éva DZ

Comme à Antrenas fin mai et dans d’autres abattoirs du Massif central, la commission d’enquête sur les conditions d’abattage des animaux continue ses visites de sites. L’un de ses membres, le député Arnaud Viala, revient sur l’objectif de cette commission. « Suite à une audition de notre commission à l’Assemblée nationale, plusieurs visites inopinées d’abattoirs sont organisées partout en France. Mon homologue, Pierre Morel-à-l’Huissier et moi, nous nous sommes chargés des abattoirs présents dans notre région. »
Des outils en bon état de fonctionnement
Arnaud Viala a aussi visité l’abattoir de Capdenac, celui de Greffeuille pour la partie ovine puis celui réservé à la production porcine. Dans ces deux sites comme à Sainte-Affrique, il a constaté le bon fonctionnement des outils. « L’ensemble des chaînes d’abattage sont en bon état, avec des équipes de responsables vigilantes sur le bien-être animal ou la formation professionnelle de leurs salariés. » L’élu signale au passage que l’abattoir de Sainte-Affrique était le seul où la vidéosurveillance était installée avant que la loi ne l’impose, améliorant ainsi l’autoformation des salariés.

La suite dans le Réveil Lozère, page 8, édition du 25 août 2016, numéro 1372.

Les plus lus

Les associés du Gaec de la Cartalade avec Emmanuel Grange de chez DeLaval devant les 3 robots fraichement installés.
3 robots de traite nouvelle génération pour gagner en souplesse de travail

À Mercoeur, les 5 associés du Gaec de la Cartalade ont fait le choix de traire un troupeau de 150 vaches montbéliardes à…

Comment la France peut aider le Maroc à repeupler son cheptel bovin et ovin ?

Sept ans d'une sécheresse redoutable, couplée aux soubresauts de la géopolitique ont fragilisé l'élevage marocain, si bien que…

vaches de races limousines dans un pré.
Aide au vêlage : 200 € par vêlage financés par la Région Auvergne-Rhône-Alpes

Destinée à encourager la recapitalisation du cheptel bovin viande dans la région, cette aide au vêlage ouvrira à partir de…

“Je veux pouvoir aller aux vaches en baskets !”

Chez les Noyer, à Saint-Martin-Cantalès, on ne lésine pas avec la propreté des vaches, de la stabulation et de la salle de…

Un groupe de personnes au milieu de véhicules de pompiers.
Photographie, le quotidien mis en scène

Le jeune photographe cantalien, Dorian Loubière, poursuit sa série de mises en scène des années 1950. Dernière prise de vue,…

vaches charolaises dans un pré.
Provision élevage : Comment les éleveurs peuvent bénéficier de cette mesure fiscale obtenue par le syndicalisme FNSEA-JA ?

La nouvelle provision élevage, déductible du résultat imposable, peut permettre aux éleveurs bovins d’économiser, dans les…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 100€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir lait
Profitez de l’ensemble des cotations de la filière Réussir lait
Consultez les revues Réussir lait au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de la filière laitière