Aller au contenu principal

Montagne et paille, valeurs économiques et environnementales qui fédèrent

Un nouveau Groupement d’intérêt économique et environnemental relatif au porc de montagne sur paille est validé. Porté par la Capp*, il est présidé par Laurent Serieys, éleveur à Labesserette (15).

Les acteurs de la filière porcine aux côtés de représentants de la Draaf pour le lancement officiel du GIEE.
Les acteurs de la filière porcine aux côtés de représentants de la Draaf pour le lancement officiel du GIEE.
© Renaud Saint-André

Il y en a 411 en France ; 32 en Auvergne-Rhône-Alpes (Aura) ; trois dans le Cantal**. Mais quoi donc ? Les groupements d’intérêt économique et environnemental (GIEE ou GI2E) qui permettent « une reconnaissance officielle par l’État de l’engagement collectif d’agriculteurs dans la modification ou la consolidation de leurs pratiques en visant une performance économique, environnementale et sociale ». Le dernier, présenté par la coopérative porcine du groupe Altitude (Capp) en avril dernier, a été reconnu en juillet. Basé sur une reconnaissance du porc de montagne sur paille, il est dans sa phase opérationnelle. Sur les 45 éleveurs adhérents à la Capp, dix qui produisent déjà du Capelin – porc charcutier sur paille à haute valeur génétique et fini à la farine de châtaignes – se fédèrent autour de l’objectif de « conforter durablement la production de porcs de montagne sur paille ». Ils répondent pour cela à plusieurs axes comme une meilleure valorisation économique, une amélioration des performances environnementales, une meilleure attractivité du métier… Ils s’engagent aussi à apporter une réponse sociétale, comme l’a précisé Benoît Julhes, président de la Capp, lors d’une journée de présentation, mercredi aux côtés de la Draaf Aura.

 

 

 

Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1436, du 30 novembre 2017, en page 7.

Les plus lus

Pour les producteurs de lait, l'interprofession doit être une instance de dialogue  sur tous les sujets.
« Les industriels veulent-ils encore faire tourner leur usine avec du lait français ? »

Après la démission du président du Cniel, et alors que les producteurs de la zone Alpes Massif central alertaient depuis…

Deux hommes et une femme devant le panneau de l'hostellerie
La famille Rouchet redonne vie à Curebourse

Bien implantés à Aurillac, Mickaël et Audrey Rouchet ont racheté l’hostellerie Saint-Clément, avec l’ambition d’y accueillir…

Une attaque de loup sur brebis et agneau, le 24 octobre dernier à la Tour d’Auvergne, a été confirmée par l’OFB
Une première attaque de loup dans le Puy-de-Dôme

En octobre, 4 nouveaux signalements de constats de prédation avec suspicion de loup ont fait l'objet d'expertise par le…

Les coupures de journaux de 1983
20 octobre 1983 : quand la tondue de Saint-Flour sortait de l'ombre

Le film, “La recluse de Saint-Flour, contre-enquête” revient sur l’affaire Esther Albouy. 
Il déroule l’existence de “…

L'alimentation animale, la clé de performance productive des animaux

Une alimentation adaptée et une gestion optimisée des fourrages participent à garantir les performances du troupeau laitier et…

En présence d’Emmanuel Ferrand, conseiller régional, délégué au fonds Feader, Ludivine et Pierre Lot ont présenté leur exploitation agricole.
Garantir des prêts à l'installation en agriculture, c'est possible en Auvergne-Rhône-Alpes

Ludivine Lot s'est installée aux côtés de son conjoint, Pierre au Breuil dans l'Allier grâce notamment au fonds de garantie…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 100€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir lait
Profitez de l’ensemble des cotations de la filière Réussir lait
Consultez les revues Réussir lait au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de la filière laitière