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« Les choix techniques qu'on a faits, c'est pour gagner notre vie et pour la qualité de vie »

Des agriculteurs heureux et qui croient en la filière caprine. Sur leur ferme qu'ils construisent pas à pas, le Gaec des fines herbes, ces deux ingénieurs agronomes de formation passés par Dijon, laissent libre cours à leurs envies. Accompagnés par Françoise Bouillon, conseillère d'entreprise et technicienne en élevage caprin auprès de la chambre d'agriculture de Lozère.

Des agriculteurs heureux et qui croient en la filière caprine. Sur leur ferme qu'ils construisent pas à pas, le Gaec des fines herbes, ces deux ingénieurs agronomes de formation passés par Dijon, laissent libre cours à leurs envies. Accompagnés par Françoise Bouillon, conseillère d'entreprise et technicienne en élevage caprin auprès de la chambre d'agriculture de Lozère.
Des agriculteurs heureux et qui croient en la filière caprine. Sur leur ferme qu'ils construisent pas à pas, le Gaec des fines herbes, ces deux ingénieurs agronomes de formation passés par Dijon, laissent libre cours à leurs envies. Accompagnés par Françoise Bouillon, conseillère d'entreprise et technicienne en élevage caprin auprès de la chambre d'agriculture de Lozère.
© Marion Ghibaudo

Sébastien et Julie Rosset sont installés depuis 2018 au Pompidou avec leurs 180 chèvres de race alpine dont ils livrent le lait à la fromagerie des Cévennes. Pour le couple, cette installation au Pompidou est une deuxième carrière, après s'être occupés d'une ferme-auberge de 2010 à 2017 en Ardèche. « Nous avions 2 000 volailles, une vingtaine de porcs, 40 brebis, et 2 000 repas, 1 000 nuitées grâce à quatre chambres d'hôtes et deux gîtes », énumère Sébastien Rosset. Une expérience enrichissante mais épuisante, et pour retrouver une qualité de vie, ils ont décidé de reprendre une petite ferme en Cévennes. « Julie voulait s'installer en caprin, moi je ne voulais pas faire de fromage et on voulait quelque chose de beaucoup plus simple, avec un seul atelier, et techniquement être plus pointus, parce que ça nous plaît, et récupérer une vraie qualité de vie », explique Sébastien Rosset de ce nouveau pan de leur vie. « Le parcours à l'installation s'est bien passé, ils savaient ce qu'ils voulaient, ils sont arrivés avec leurs chiffres. Ils ont d'abord trouvé la ferme et ensuite ils sont venus me voir », s'amuse Françoise Bouillon. Ferme qui a été trouvée via l'entremise de la fromagerie des Cévennes.

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