La phytothérapie, une médecine complémentaire
Les médecines complémentaires semblent fonctionner en élevage.
Différentes parties de la plante sont utilisées en phytothérapie : feuille, tige, sommités fleuries, racine, tubercule, écorce. Elles peuvent se présenter sous différentes formes : des plantes fraîches ou sèches mais aussi extraites par l’eau, par l’huile, par l’alcool… « Certains principes actifs sont aujourd’hui bien connus, explique Céline Peudpièce, vétérinaire avec une orientation médecines complémentaires à la chambre régionale des Pays-de-la-Loire, mais ils peuvent être de l’ordre d’un millier dans une seule plante. D’autre part, les molécules de plusieurs plantes semblent agir en synergie. Et aujourd’hui les résidus potentiels de ce cocktail dans les organismes sont inconnus ». Les médecines complémentaires semblent fonctionner en élevage. « La limite aujourd’hui est que cette efficacité n’est peu ou pas prouvée scientifiquement », insiste la vétérinaire.
Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1493, du 17 janvier, en page 12.