Algérie

Les importations de blé ont tendance à baisser depuis 2008

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 3 mars 2011 - Par

Rédaction Réussir

La facture des importations de blé dur et tendre en Algérie sur 2010 a atteint les 1,251 Md$ contre 1,832 Md$ en 2009, ont indiqué le 27 février les douanes algériennes. Soit, en valeur, une baisse de 31,7 % des achats céréaliers. En volume, les importations de blé se sont repliées de 5,719 Mt en 2009 à 5,232 Mt en 2010, soit une baisse de près de 500.000 t. Après des importations record en 2008, à 6,48 Mt pour un montant de 3,19 Mds, suite à une mauvaise récolte, l’Algérie a entamé une baisse de ses importations en 2009, qui s’est poursuivie en 2010. Cette baisse des importations serait liée à l’octroi par le gouvernement aux céréaliculteurs de crédits fournisseurs leur permettant d’acquérir des semences, des engrais et des produits phytosanitaires et donc d’augmenter la production domestique. En 2011, l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) a prévu d’importer pour 700 à 800 M$ de céréales. Si l’on y ajoute les achats privés, le montant global de la facture atteindrait les 1,5 Md$, selon le ministère de l’Agriculture du pays.

Analyses quotidiennes