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La bourse du Nouvel an fête les professionnels de l’exécution

Pour la nouvelle année, les professionnels du commerce des grains et produits dérivés ont une fois de plus répondu présents à l’appel du Syndicat général de la Bourse du commerce de Paris

NOMBREUX. Près de 700 professionnels de la filière du commerce des grains sont venus se souhaiter la bonne année à Paris pour la bourse exceptionnelle du Nouvel an organisée, comme de tradition, à la Bourse de commerce le 18 janvier. Signe particulier de cette édition 2007, la forte participation des professionnels de l’exécution auxquels cet événement était dédié, qui ont fait le déplacement en masse avec une participation proche des 200 personnes.

La volatilité et surtout la fermeté des prix était dans tous les esprits, et nombreux étaient ceux qui remarquaient que désormais, même ici en France, ou plus généralement au sein de l’UE, ce ne sont plus seulement les éléments fondamentaux comme la quantité ou la qualité des récoltes engrangées qui orientent les prix des matières premières. Désormais, un simple mouvement de hausse en maïs sur le marché à terme de Chicago peut faire exploser l’ensemble du marché mondial.

Les professionnels de l’exécution des contrats sont venus en force

Ils étaient 45 à s’être inscrit à la précédente bourse du Nouvel an en 2006. Cette année ce sont près de 200 professionels de l’exécution des contrats commerciaux de grains qui se sont retrouvés sous la rotonde de la Bourse du commerce de Paris, pour une centaine d’inscrits au matin. Et pour honorer cette profession, dont « on ne pourrait se passer », un concours « sous le signe de la parité » a été organisé par le syndicat général de la Bourse de commerce de Paris. Ainsi Véronique Gallou, de la société Saipol, a reçu une caisse de vin des mains de Barthelemy François (SGS Agricultural Services) après un tirage au sort de Pascal Delater (Groupe SGS France). Pour les hommes, c’est Jean Marc Lefebvre, de la société InVivo qui a également gagné de quoi accompagner un bon repas, après un tirage d’Alain Gérard, président de la Fédération française des syndicats de courtiers en marchandises (FFSCM).

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