Entreprises

Centre Grains, 120.000 t de céréales exportées via Sète

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 7 mai 2013 - Par Anne Le Nail

Il y a un an, Centre Grains, filiale de la coopérative Axéréal, inaugurait son terminal agro-industriel dans le port de Sète. « Nous avons pu commencer l’export de céréales en juillet 2012, se réjouit Hervé Cifaï, directeur de Centre Grains et des Silos du Sud. Depuis le début de la campagne 2012/2013, nous avons expédié 120.000 t. C’est essentiellement du blé tendre et de l’orge, mais nous avons également fait un peu de maïs. » Les céréales partent à 80 % vers l’intracommunautaire, notamment l’Italie, et à 20 % vers les pays tiers, vers l’Algérie en particulier. « Nous espérons encore expédier 30.000 t d’ici fin juin », confie Hervé Cifaï. À terme, le groupe ambitionne d’exporter 300.000 t de céréales par an.
Grâce au nouveau terminal, les céréales peuvent arriver par péniche du centre de la France. Auparavant les livraisons se faisaient uniquement par train. Si les céréales sont 100 % françaises, Centre Grains réceptionne aussi 100 à 150.000 t de colza pour le compte de Saipol, soit en provenance de l’Hexagone, soit via des importations ukrainiennes, canadiennes ou bien encore australiennes. « Saipol fait tourner à 60 % le silo. Les autres 40 % sont le fait de Granit Négoce, filiale d’Axéréal », explique le directeur de Centre Grains.
Les travaux de remise à gabarit de l’accès fluvial pour permettre le passage d’automoteurs de 2.500 t – contre un maximum de 1.500 t aujourd’hui –, sous l’égide de VNF, ont commencé. Ils devraient être terminés d’ici deux-trois ans, mais une première portion sera inaugurée à la fin du mois.

Analyses quotidiennes