Blé : une note de panification "bonne à très bonne" pour 43% de la collecte (FranceAgriMer)

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 9 septembre 2014 - Par

Rédaction Réussir

FranceAgriMer annonce une note de panification « bon à très bon » pour 43 % de la collecte de blé tendre contre 95 % l’an dernier, selon une enquête qualité à l’entrée des silos. Vu l'hétérogénéité de la qualité de la récolte 2014, les organismes stockeurs ont un gros travail d’allotement. Les importants volumes et la grande part de blés fourragers se traduisent aussi par une moins bonne rémunération. « Les agriculteurs reçoivent la baisse des prix en pleine figure : il y aura des réfactions », a expliqué Rémi Haquin, chiffrant à 30 euros/t l’écart entre des qualités fourragères et meunières. FranceAgriMer a par ailleurs livré des bilans « peu habituels ». En blé tendre, les exportations sont chiffrées à 16,1 Mt, dont 8 Mt à destination des pays tiers contre 12,2 Mt lors de la précédente campagne. Elles reflètent des difficultés probables, faute de satisfaire aux cahiers des charges publics des pays destinataires. « Il y aura des segments inhabituels à aller chercher », a estimé Olivia Le Lamer, chef de l’unité Grandes cultures.