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Première assemblée générale encourageante

Après une première année de vie, les adhérents du GIE Lauv’lim étaient réunis ce mercredi 22 juillet pour leur assemblée générale annuelle. Antoine Verlaguet, installé à Trélans, a joué les hôtes d’un jour pour la trentaine d’adhérents présents.

Après une première année de vie, les adhérents du GIE Lauv’lim étaient réunis ce mercredi 22 juillet pour leur assemblée générale annuelle. Antoine Verlaguet, installé à Trélans, a joué les hôtes d’un jour pour la trentaine d’adhérents présents.
Après une première année de vie, les adhérents du GIE Lauv’lim étaient réunis ce mercredi 22 juillet pour leur assemblée générale annuelle. Antoine Verlaguet, installé à Trélans, a joué les hôtes d’un jour pour la trentaine d’adhérents présents.
© Marion Ghibaudo

« Nous sommes encore nouveaux sur le marché des reproducteurs et nous devons nous faire connaître » a rappelé Jean-Paul Portal au GIE Lauv’lim, en introduction. Bien que la crise du Covid-19 ait impacté les résultats de la première année d’exercice, le GIE Lauv’lim a présenté des chiffres proches des objectifs annoncés aux adhérents. « Les mois de mars et avril ont été meilleurs que ce qu’on craignait », a affirmé Jean-Paul Portal. « Les chiffres ne sont pas catastrophiques pour le moment, a expliqué le contrôleur de gestion, tant que les adhérents continuent de jouer le jeu ».
« Notre objectif de chiffre d’affaires s’est révélé inférieur en pourcentage à ce que nous avions espéré, mais nous sommes globalement satisfaits », a détaillé Jean-Paul Portal, en présentant les chiffres de vente de tous les animaux des adhérents.
Bien que le GIE Lauv’lim ait une place à prendre sur le marché des reproducteurs limousins entre autres, et bien qu’ils soient loin du berceau, le président a regretté que les adhérents soient encore « trop timides pour annoncer les bêtes qu’ils ont sur leurs exploitations ».
Un manque d’annonce relevé aussi par le technico-commercial du GIE Lauv’lim, Nicolas Restituito, qui a rappelé que la demande se fait « sur le haut de gamme et sur le moyen de gamme, et qu’il ne faut pas hésiter à annoncer pour ces marchés aussi ».

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