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Poursuivre l’élan en faveur de la génétique salers

Le Herd-book salers et ses partenaires ont animé une journée génétique et de promotion de la race.

La dernière journée génétique salers s’est déroulée à Maurs.
La dernière journée génétique salers s’est déroulée à Maurs.
© R. S.-A.
Ces dernières années, les “journées génétiques salers” se sont multipliées. De très nombreux éleveurs y ont participé. Elles se poursuivent à un rythme moins cadencé, par arrondissement. Le dernier rendez-vous, jeudi 17 janvier à Maurs, a permis de faire le point sur les nouveautés en matière d’aides départementales ; de présenter les caractéristiques des produits des principaux taureaux d’insémination ; de démontrer les intérêts du vêlage à deux ans...

Acheter un taureau

À cet égard, c’est le Gaec des Prairies (au lieu-dit La Camp Briquèze) qui a ouvert ses portes. Cette société, adhérente au Herd-book salers, est née de la fusion de deux élevages (Seyrolles et Amadieu). Les éleveurs ont décidé de privilégier la race pure, abandonnant petit à petit le croisement. Ils pratiquent déjà le vêlage à deux ans, ce qui permet de réduire la période d’improductivité, mais nécessite d’être rigoureux quant à la conduite des génisses et réclame une alimentation particulièrement riche. C’est notamment ce qu’a expliqué Bernard Lafon, directeur de Bovins Croissance.  

Plus de 560 élevages engagés dans des contrats d'amélioration

Pierre Bonnaves est intervenu pour sa part sur les taureaux disponibles à l’IA (insémination animale) et Stéphane Garel sur les modalités d’attribution des aides directes versées par le Conseil général pour l’amélioration génétique de son cheptel. Il a particulièrement insisté sur le soutien à l’achat de taureaux améliorateurs, dès le premier niveau de contrat (qui nécessite des élevages adhérents à l’état civil, mais pas nécessairement au Contrôle de performance ou Herd-book). Une aide de 200 euros est attribuée par taureau améliorateur confirmé ; elle passe à 250 euros dès le niveau 2 de contrat. À ce jour, 567 élevages sont engagés dans l’un des trois contrats d’amélioration génétique proposés et qui ouvrent droit à des aides au renouvellement, au travail en race pure, à l’insémination, à la transplantation embryonnaire, etc. 

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