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Les élèves du lycée agricole de Civergols seront présents au TIEA

C'est une équipe de six élèves que le lycée François Rabelais à Civergols va présenter cette année. Six élèves issus de deux classes différentes (trois bacs pros STAV et trois premières pro CGEA), et qui ont su créer une belle dynamique de groupe.

C'est une équipe de six élèves que le lycée François Rabelais à Civergols va présenter cette année. Six élèves issus de deux classes différentes (trois bacs pros STAV et trois premières pro CGEA), et qui ont su créer une belle dynamique de groupe.
C'est une équipe de six élèves que le lycée François Rabelais à Civergols va présenter cette année. Six élèves issus de deux classes différentes (trois bacs pros STAV et trois premières pro CGEA), et qui ont su créer une belle dynamique de groupe.
© Marion Ghibaudo

Luna Dubois, Yoann Bandon, Elsa Masson, Lucas Romero, Enora Maraval et Laetitia Belet sont les six élèves retenus pour participer au TIEA cette année. Particularité, ils ont intégré à leur groupe un septième élève, « le remplaçant », qui s'entraîne avec eux. Sans oublier, bien sûr, l'élément le plus important de leur groupe : Ouba, la Simmental de quatre ans et en seconde lactation, qui va les aider à représenter leur lycée, la race et l'AOP Laguiole lors du concours. Un challenge que les élèves sont prêts à relever : tous, élèves comme animal vont se présenter à leur premier concours. Mais Ouba a de qui tenir, puisque sa grand-mère Ambala, en 2013, était déjà montée à Paris, et « l'équipe avait terminé première », se satisfait leur encadrant. Ouba et son groupe feront-ils aussi bien ? « Nous y allons déjà pour participer », pointe sagement Laurent Vigier, sous les sourires entendus des élèves.
« Nous avons commencé à travailler avec Ouba en novembre 2021 », expliquent les élèves. Après un premier tri parmi les vaches de l'exploitation effectué par l'équipe encadrante, rattachée à l'AOP Laguiole depuis près de deux ans, les élèves ont choisi Ouba, même si le choix n'allait pas de soi au départ. « Il y en a qui ne pouvaient pas monter à Paris, c'est-à-dire qu'on a la contrainte de choisir les vaches qui seront prêtes à monter », a rappelé Laurent Vigier, leur encadrant sur le projet et ancien chef d'exploitation. C'est d'ailleurs avec son travail que l'exploitation, après avoir longtemps accueilli des Prim'Holstein, a pu basculer en Simmental, une race « mieux adaptée au territoire, et qui économiquement, permet de mieux valoriser le lait », explique Laurent Vigier.

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