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Les chambres se posent en acteurs incontournables de la relance

Pas de relance ni de transition écologique sans accompagnement par les chambres d’agriculture : c’est le message qu’a martelé l’Apca (tête de réseau) le 8 septembre, soulignant la « résonance » entre le plan de relance et ses propres projets. Un argument aussi pour prévenir toute tentation de réduction budgétaire.

Pas de relance ni de transition écologique sans accompagnement par les chambres d’agriculture : c’est le message qu’a martelé l’Apca (tête de réseau) le 8 septembre, soulignant la « résonance » entre le plan de relance et ses propres projets. Un argument aussi pour prévenir toute tentation de réduction budgétaire.
Pas de relance ni de transition écologique sans accompagnement par les chambres d’agriculture : c’est le message qu’a martelé l’Apca (tête de réseau) le 8 septembre, soulignant la « résonance » entre le plan de relance et ses propres projets. Un argument aussi pour prévenir toute tentation de réduction budgétaire.
© Guillaume Perrin - Illustration

Dans un entretien à Agra presse le 4 septembre, le président de l’Apca Sébastien Windsor a mis en avant la « résonance particulière » entre le plan de relance gouvernemental et le projet stratégique des chambres pour 2025. Un message également martelé lors d’un point presse le 8 septembre, au cours duquel les chambres d’agriculture se sont posées en acteurs incontournables de la relance et de la transition agricole. « La transformation nécessaire de l’agriculture ne se fera pas si les chambres ne sont pas au rendez-vous », a lancé Sébastien Windsor devant les journalistes.
Et de citer les investissements prévus dans le bien-être animal et dans l’agroéquipement, le développement des protéines végétales, l’accélération des productions bio et la HVE, l’agriculture urbaine, la multiplication des PAT (projets alimentaires territoriaux), etc. « Les collectivités ne connaissent pas toujours leur environnement agricole, les projets en cours, les besoins des producteurs. Si personne ne les accompagne pour écrire les PAT, elles feront des bêtises », craint l’agriculteur de Seine-Maritime.

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