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Les attentes de la société font bouger le SIA

La 52e édition du Salon international de l’agriculture (SIA) se déroule du 21 février au 1er mars, porte de Versailles à Paris. Au sommaire : mouvement, climat et retour du hall 1.

Filouse est la mascotte de cette 52e édition.
Filouse est la mascotte de cette 52e édition.
© DR

L’année 2015 sera celle de la problématique du changement climatique ou ne sera pas. Avec en ligne de mire la conférence internationale de Paris sur ce sujet à la fin de l’année et après la publication par Météo France de chiffres démontrant que 2014 a été la plus chaude depuis 1900, Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, a clairement placé la 52e édition du Salon international de l’agriculture (SIA) comme une contribution à cette conférence. Le ministre a déploré que l’agriculture, certes émettrice de gaz à effet de serre (GES), soit toujours montrée du doigt et que jamais, on ne relevait le fait qu’elle pouvait stocker du carbone et donc être une partie des solutions à ce problème des GES. Du coup, le ministère des Affaires étrangères et les responsables du SIA proposeront, le jeudi 20 février, une grande journée de rencontres avec 300 participants (chercheurs, représentants de l’agriculture, politiques, entreprises…) du monde entier pour échanger sur ce thème de l’agriculture et du climat.
« Il est important de montrer ce que l’agriculture et la forêt peuvent faire en matière de fixation du carbone et, avec des nouvelles techniques, d’en restituer une certaine partie pour rendre les plantes plus efficaces. Avec la recherche, les transferts de technologie, le machinisme et les savoir-faire accumulés, on peut répondre à certaines attentes de la société » assure Jean-Luc Poulain, président du SIA, qui espère franchir la barre du million de visiteurs en additionnant SIA et Sima. Il rappelle aussi que l’agriculture en mouvement, thème chapeau de cette édition, c’est aussi « nourrir en quantité et en qualité les populations, préserver notre environnement et le prendre en charge et innover pour inventer et construire l’agriculture de demain ».

La suite dans le Réveil Lozère, page 3, édition du 15 janvier 2015.

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