Aller au contenu principal

Sommet de l'élevage
Le tour du monde en trois jours

La XXe édition du Sommet de l’élevage a drainé un nombre impressionnant de délégations étrangères. A l’export, la France a de sérieuses cartes à jouer, l’évènement en a, encore une fois, donné la preuve.

80 000 visiteurs ont arpenté les allées du 20e Sommet de l'Élevage entre le 5 et le 7 octobre à Clermont-Ferrand (63).
80 000 visiteurs ont arpenté les allées du 20e Sommet de l'Élevage entre le 5 et le 7 octobre à Clermont-Ferrand (63).
© Sophie Giraud/Pamac

Faute de ministre, c’est le préfet de la région Auvergne, Francis Lamy, qui a inauguré la 20e édition du Sommet de l’élevage, qui s’est ouverte mercredi dernier, à Clermont-Ferrand. Le ministre de l’agriculture n’a officiellement pas été en mesure de se libérer.
Les responsables professionnels l’ont regretté. Certains, à l’instar du président de la FNB, Pierre Chevalier, se sont déclarés déçus, sans pour autant focaliser leur attention sur cette absence. « C’est dommage que le ministre ne voit pas cette vitrine exceptionnelle, car ne l’oublions pas, le Sommet de l’élevage est une chance pour l’économie française. Tous les savoir-faire de l’élevage sont là », a insisté, Xavier Beulin, le président de la FNSEA. Il faut dire que le Sommet version 2011 n’a pas manqué pas de perspectives, avec des présentations animales, des concours de très hauts niveaux et surtout des délégations étrangères largement au rendez-vous.
C’est l’ensemble de ces éléments que Roger Blanc, président du Sommet de l’élevage, a expliqué au préfet de région, Francis Lamy, au cours de la visite officielle. Une visite, qui a démarré dans le Hall 1, pour rejoindre assez rapidement, le Hall des bovins viande. Au programme, discussion avec des éleveurs de la race Limousine, qui disputait son concours national cette année au Sommet. Xavier Longy, éleveur en Corrèze, a expliqué en quoi la tenue du concours au sommet était un plus : « Les visiteurs sont plus nombreux que lors d’un concours traditionnel, ce qui nous permet de récolter davantage de contacts ».
En ce vingtième anniversaire du Sommet, cet éleveur ne croyait pas si bien dire, tant les échanges de contacts ont été denses. Tunisie, Algérie, Maroc, Egypte, Libye, Kazakhstan, Chine, Mexique… plus de 3000 visiteurs étrangers ont participé au premier rendez-vous européen des races à viande, à l’affût de génétique, de bêtes et de savoirs-faires.

[...]

La suite est à lire dans la Creuse agricole et rurale du 14 octobre 2011.

Les plus lus

deux hommes, la famille Lemmet, avec du fromage saint-nectaire
AOP saint-nectaire, une tradition chez les Lemmet

Julien Lemmet incarne la quatrième génération de producteurs fermiers au Gaec de l’Estival de Marcenat. Une tradition…

Intempéries : après l’orage, les agriculteurs toujours dans l’incertitude

Un mois après les violents orages de grêle du 25 juin, la Corrèze panse encore ses plaies. Des campagnes abîmées, des…

Le burger fermier de Benoît Lafon

Saveur d'Ayvals - À bord de son food-truck, Benoît Lafon, éleveur salers à Jussac, sillonne tout l’été les marchés de pays et…

Nicolas Cussac sur son exploitation.
Photovoltaïque : pour une maîtrise des coûts de l’électricité sur l'exploitation

Pour maîtriser sa facture d’électricité, le Gaec Cussac La Chaumette s’est converti au photovoltaïque et au chauffe-eau…

Face à la DNC, les éleveurs du Puy-de-Dôme sont appelés à fermer les portes de leur exploitation

La Dermatose Nodulaire Contagieuse (DNC) continue de se propager en Savoie et Haute-Savoie. DDPP, GDS et les vétérinaires…

Les lésions même cicatrisées restent douloureuses pour l'animal.
DNC : l'abattage est-il réellement justifié ?

Face à la dynamique de contamination (vectorielle et par contact) et les difficultés d'identifier les bovins exprimant peu les…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 100€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir lait
Profitez de l’ensemble des cotations de la filière Réussir lait
Consultez les revues Réussir lait au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de la filière laitière