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Le concours du sylvotrophée est remporté par le groupement de la Somical

Le jeudi 23 septembre 2021, au siège du parc national des Cévennes à Florac-Trois-Rivières, a eu lieu la remise des prix de la seconde édition du sylvotrophée.

Le jeudi 23 septembre 2021, au siège du parc national des Cévennes à Florac-Trois-Rivières, a eu lieu la remise des prix de la seconde édition du sylvotrophée.
Le jeudi 23 septembre 2021, au siège du parc national des Cévennes à Florac-Trois-Rivières, a eu lieu la remise des prix de la seconde édition du sylvotrophée.
© Adrien Majourel - PNC

C'est le groupement Somical - Forêt de Fretma et Cavalade (sur le causse Méjean), représenté par Sylvie Coisne et Léa Barré, qui a remporté le premier prix. « Tout le monde (ou presque) connaît cette grande forêt, dans le coeur du parc national, sur le causse Méjean. Il y a un peu plus de 70 ans, il n'y avait pas d'arbres. Le Fonds forestier national a permis de reboiser », a déclaré Henri Courderc, président du conseil d'administration du parc, lors de la remise des prix.
Parmi les autres candidats en lice, la forêt de Camp Figoux à Soustelle propriété de Jony Brès a reçu le prix « spécial de la combativité », la forêt de Conches à Ventalon-en-Cévennes, propriété de Michel de Lagausie, le prix « belle forêt d'avenir » et la forêt communale de Banne représentée par le maire, Jean-Marie Laganier, le prix « au service de la biodiversité ».
Réalisé en partenariat avec le centre régional de la propriété forestière (CRPF) et l'association des parcs naturels du massif central (Ipamac), ce concours vise à valoriser la gestion durable des forêts : cette gestion dite « multifonctionnelle » prend en compte les fonctions économiques, sociales et environnementales d'une forêt ; cette année, quatre parcelles étaient en lice, à la fois dans le Gard et en Lozère, toutes situées sur le territoire du parc national des Cévennes.
Quant au choix du jury de récompenser le groupement forestier de la Somical, « les choix effectués sont judicieux : sylviculture irrégulière à couvert continu, plantations d'enrichissement en essences feuillues autochtones, valorisation paysagère, accompagnement par des techniciens qualifiés, volonté de transmission du patrimoine entre générations, préservation d'une biodiversité riche, etc. », a détaillé Henri Couderc.

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