Aller au contenu principal

L’association française d’agroforesterie veut changer d’échelle

L’association française d’agroforesterie a lancé mi-novembre la campagne de financement « 1 jour, 1 agriculteur, 1 territoire » avec son fonds Af-ter, espérant doubler le nombre de projets financés chaque année par plus de mécénat.

L’association française d’agroforesterie a lancé mi-novembre la campagne de financement « 1 jour, 1 agriculteur, 1 territoire » avec son fonds Af-ter, espérant doubler le nombre de projets financés chaque année par plus de mécénat.
L’association française d’agroforesterie a lancé mi-novembre la campagne de financement « 1 jour, 1 agriculteur, 1 territoire » avec son fonds Af-ter, espérant doubler le nombre de projets financés chaque année par plus de mécénat.
© Christian Gloria

« Changer d’échelle », c’est l’espoir de Fabien Balaguer, agronome et directeur de l’association française d’agroforesterie. Chaque année, explique-t-il, son association reçoit environ mille demandes de la part d’agriculteurs pour financer leurs projets, et en sélectionne entre 250 et 300. « La demande est croissante, et on sait qu’on va exploser les compteurs », prévoit Fabien Balaguer.
Avec cette nouvelle campagne, intitulée « 1 jour, 1 agriculteur, 1 territoire », l’association souhaite attirer des financements suffisants vers son fonds Af-ter pour doubler sa capacité d’accompagnement, et atteindre au moins 500 projets par an. « L’ambition est d’aller recruter de nouveaux financeurs, tout en conservant la possibilité pour chacun de soutenir à la carte un projet qui lui correspond », explique-t-il.
Créée en 2007, l’association et ses douze salariés revendiquent l’aide de noms connus : Air France, Ecocert, Garnier (L’Oréal), la Poste, Franprix ou Léa Nature ont tous contribué à financer des programmes ou projets sur mesure. « Ce sont des structures qui sont intéressées par l’agriculture durable, la biodiversité, ou la ruralité. Le carbone n’est pas forcément la première clé d’entrée », confie Fabien Balaguer.

Les plus lus

le groupes des lieutenents de louveteirie
Lunettes thermiques vs loup

Assermentés pour prélever le loup, les louvetiers vont utiliser du nouveau matériel pour leurs missions de nuit.

Jeune fille tenant un veau salers
Romane, 9 ans, et Vainqueur, 9 mois, un duo inséparable

 À 9 ans, Romane marche déjà dans les pas de son père, Cédric Debladis, éleveur salers bio à Lascelles (Cantal). Tous…

une vache beige au milieu d'un groupe de personnes
Le Départemental aubrac prime la qualité

Quatre cent vingt animaux étaient en lice dimanche pour le concours départemental aubrac à Chaudes-Aigues. Le titre de Miss…

Médecins : comment le Cantal a inversé sa courbe démographique ?

Depuis début 2020, le Cantal gagne des médecins, les inscriptions dépassant désormais les radiations, le fruit d’une politique…

jeune éleveur brossant une vache salers dans un pré
Montagne, nouvelle égérie salers ?

Géraud Semeteys a repris en janvier l’exploitation Manhès à Arpajon-sur-Cère. Un cheptel à la génétique reconnue qu’il entend…

Qu'est ce qui va changer avec le label "Plus beaux villages de France"?

Marcolès a officiellement rejoint les “Plus beaux villages de France” , espérant une hausse de la fréquentation touristique…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 100€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir lait
Profitez de l’ensemble des cotations de la filière Réussir lait
Consultez les revues Réussir lait au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de la filière laitière