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La croissance via l'aquaculture

Secteur en pleine croissance encouragé par le gouvernement tunisien, les filières aquaculture et spiruline suscitent l'intérêt de grands groupes étrangers et de sociétés françaises.

Élevage de naissains en suspension sous une table d'élevage.
Élevage de naissains en suspension sous une table d'élevage.
© DR

Les produits d'élevage frais non transformés comme le loup de mer et la daurade sont de plus en plus réclamés à l'échelle nationale. Vingt-quatre fermes aquacoles en mer sont en activité en Tunisie. Trente-neuf autorisations de construction ont été délivrées selon les statistiques du ministère de l'agriculture (fin 2016). Si l'aquaculture mondiale est une extraordinaire réussite et représente une fabuleuse source de protéines pour le futur, elle devra toutefois, être impérativement plus soucieuse de l'environnement, de la création et de l'application du guide des bonnes pratiques d'élevage, pour améliorer et valoriser le produit d'élevage, la qualité nutritionnelle.

Recherche et développement
En Tunisie, où la filière élevage est en plein essor, des unités de recherche et de développement se sont constituées avec l'appui de chercheurs dans plusieurs sociétés, dont le groupe Nakbi, leader sur ce marché qui développe le grand export. Le groupe Nakbi (siège à Teboulba) regroupe six sociétés spécialisées dans l'aquaculture. Il a acquis une renommée importante par la qualité et la fraîcheur de ses produits et par sa capacité à approvisionner régulièrement les marchés de poisson d'une qualité nutritionnelle, organoleptique et hygiénique constante. « La qualité, c'est le secret de notre succès, grâce aux différents systèmes de management mis en place au sein du groupe : système de management de la qualité certifiée Iso 9001 et système de management de sécurité des denrées alimentaires certifié Iso 22 000. Le département Qualité du groupe vise à unifier les procédures de travail pour les autres sociétés nouvellement fondées d'ici fin 2018 avec le travail sur l'obtention de quelques labels », explique Abir Ben Jeddou, responsable qualité, au sein du groupe Nakbi.

 

 

Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1439, du 21 décembre 2017, en page 16.

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