Aller au contenu principal

La chasse est seulement autorisée pour « la régulation de certaines espèces »

Si le premier confinement n'avait pas impacté la chasse, notamment en Lozère puisqu'elle n'était pas encore ouverte, ce deuxième confinement a donné lieu à un certain flou autour de cette activité, en plein coeur de la saison.

Si le premier confinement n'avait pas impacté la chasse, notamment en Lozère puisqu'elle n'était pas encore ouverte, ce deuxième confinement a donné lieu à un certain flou autour de cette activité, en plein coeur de la saison.
Si le premier confinement n'avait pas impacté la chasse, notamment en Lozère puisqu'elle n'était pas encore ouverte, ce deuxième confinement a donné lieu à un certain flou autour de cette activité, en plein coeur de la saison.
© JC Gutner/Illustration

« Le maître mot reste et doit rester la solidarité entre tous les citoyens », a écrit André Thérond, président de la fédération départementale des chasseurs de Lozère, dans une lettre ouverte.
Lors de l'annonce de ce second confinement mis en place au 29 octobre 2020, « toute forme de chasse a été suspendue », relève André Thérond. Si certains chasseurs, au niveau national, ont cru qu'ils pouvaient aller chasser dans les limites « d'une heure par jour et d'un rayon d'un kilomètre », ils ont vite déchanté : la chasse a été interdite sous toutes ses formes, a confirmé le gouvernement. Cependant, des problèmes liés à cette interdiction ont rapidement été mis à jour, notamment pour tout ce qui concerne les dégâts dus à la faune sauvage et la régulation de ces espèces, qui se chiffrent chaque année à des centaines de milliers d'euros.
« Dans ce cadre », précise Bérangère Abba, secrétaire d'État chargée de la biodiversité, dans une circulaire adressée aux préfets de département en fin de semaine dernière, « seront organisées, sous le contrôle des préfets de département, des actions de régulation de la faune sauvage susceptible d'occasionner des dégâts aux cultures et aux forêts, et dont la population doit être régulée. C'est notamment le cas des populations de sangliers et de chevreuil. »

Les plus lus

Race salers : au Gaec Cambon, on cultive les deux rameaux

À Saint-Paul-des-Landes, la famille Cambon cultive la tradition, celle de la salers traite. Une race dont elle travaille aussi…

Olivier Martin, nouveau directeur du lycée agricole d’Ahun

Trente ans après avoir débuté sa carrière à Ahun, Olivier Martin reprend la direction du lycée agricole. Un retour aux sources…

Chaudes-Aigues, Caleden ouvre à nouveau ses bassins

Le centre thermoludique Caleden à Chaudes-Aigues ouvre mercredi 22 octobre. C’est la fin de sept années de galère pour refaire…

Rassemblement national : passer un cap dans le Cantal

Le Rassemblement national des Jeunes ouvre une section dans le Cantal et se structure avec une permanence. 

Portrait Jean Prat : Le défi d’une transmission réussie en agriculture

 Lubersac, octobre 2025 — À 21 ans, Jean Prat incarne une nouvelle génération d’agriculteurs : celle qui allie…

Finale du championnat de France : l’enduro moto retrouve Saint-Flour

Pour ses 50 ans, le moto club du Haut Cantal accueille à Saint-Flour la finale du championnat de France d’enduro moto du 10 au…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 100€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir lait
Profitez de l’ensemble des cotations de la filière Réussir lait
Consultez les revues Réussir lait au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de la filière laitière