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Julien Bonnal : un Qualiviande sous le signe de la limousine

Installé au Monteil, à Rieutort-de-Randon, Julien Bonnal va participer cette année à son premier Qualiviande, qui aura lieu samedi 17 et dimanche 18 septembre à Aumont-Aubrac.

Installé au Monteil, à Rieutort-de-Randon, Julien Bonnal va participer cette année à son premier Qualiviande, qui aura lieu samedi 17 et dimanche 18 septembre à Aumont-Aubrac.
Installé au Monteil, à Rieutort-de-Randon, Julien Bonnal va participer cette année à son premier Qualiviande, qui aura lieu samedi 17 et dimanche 18 septembre à Aumont-Aubrac.
© Marion Ghibaudo

En 2022, coup de chance ; le concours Qualiviande aura bien lieu. En 2020, la précédente édition de ce concours bisannuel avait dû être annulée pour cause de Covid-19. En termes de participation, il faut donc remonter à 2018 pour un point de comparaison : 61 exposants, toutes catégories confondues. En 2022, le même nombre devrait se retrouver sous la halle d'Aumont-Aubrac. Une belle opportunité pour les éleveurs de « comparer leurs animaux, présenter au grand public le panel très diversifié des élevages lozériens, sans oublier de passer un moment convivial », a pointé la chambre d'agriculture de Lozère, co-organisateurs du concours avec le Comel.

Une longue préparation...
Julien Bonnal a la limousine dans le sang : son grand-père avait lancé l'élevage avec des taureaux de la race, puis « mon père et mon oncle ont continué la tradition dans un Gaec familial dès les années 1990 ». Julien Bonnal représente donc, avec fierté, la troisième génération à élever des limousines sur la ferme. Et n'est pas près de changer de race : « dès mon plus jeune âge, j'ai été biberonné aux limousines », s'amuse-t-il. Avec cette nouvelle génération qui arrive aux commandes, le Gaec Bonnal s'est donc quelque peu transformé : le premier Gaec a été dissous pour que Julien Bonnal et son père puissent refonder un Gaec (le Gaec Bonnal J.-B.), tandis que son oncle créait un autre Gaec avec son propre fils, cousin de la famille. Le tout dans le même village, avec des bâtiments à quelques centaines de mètres l'un de l'autre, et tous deux consacrés aux limousines. « Ce qui me plaît dans cette race, c'est son côté technique, il faut continuellement les suivre pour s'assurer qu'elles vont bien », s'enthousiasme le jeune éleveur, qui en plus de s'intéresser à la génétique de son troupeau, n'oublie pas de se passionner aussi pour l'agronomie

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