Deux licences professionnelles proposées conjointement par l’IUT et l’Enilv
Des licences de valorisation de produits de terroir et d’expertise environnementale viennent compléter les BTS et DUT proposés à Aurillac dans deux établissements voisins.

Un vivier dans les formations initiales
Les brevets supérieurs de type Acse (BTS production) ou d’industrie laitière et agroalimentaire (transformation) -dispensés sur le pôle d’enseignement agricole- et les DUT de génie biologique option agronomie et génie de l’environnement -de l’IUT- servent de vivier aux deux nouvelles licences. Car si ces licences professionnelles restent ouvertes à tous, elles doivent probablement leur agrément gouvernemental à une cohérence au niveau des filières proposées sur une même unité de lieu. “Mais l’Université, qui a porté ce dossier, ne se voyait pas le constituer seule”, confie Philippe Veissière, chef du département Génie biologique, en se tournant vers Bernard Motte, enseignant à l’Enilv et au lycée Pompidou. Si ce sont essentiellement eux qui ont constitué les dossiers d’habilitation, ils se sont adjoints la complicité d’autres établissements encore, pour que la formation soit la plus complète possible. Ainsi des liens sont-ils tissés avec l’Enita de Clermont-Ferrand, également habilitée pour la licence “produits de terroir” (les étudiants passent une semaine sur le site de Marmilhat) ; avec l’Esepac pour aborder le volet emballage alimentaire (deux jours à l’Ecole supérieure européenne des professions de l’emballage et du conditionnement du Puy-en-Velay).
Premier pas en entreprise
Les brevets supérieurs de type Acse (BTS production) ou d’industrie laitière et agroalimentaire (transformation) -dispensés sur le pôle d’enseignement agricole- et les DUT de génie biologique option agronomie et génie de l’environnement -de l’IUT- servent de vivier aux deux nouvelles licences. Car si ces licences professionnelles restent ouvertes à tous, elles doivent probablement leur agrément gouvernemental à une cohérence au niveau des filières proposées sur une même unité de lieu. “Mais l’Université, qui a porté ce dossier, ne se voyait pas le constituer seule”, confie Philippe Veissière, chef du département Génie biologique, en se tournant vers Bernard Motte, enseignant à l’Enilv et au lycée Pompidou. Si ce sont essentiellement eux qui ont constitué les dossiers d’habilitation, ils se sont adjoints la complicité d’autres établissements encore, pour que la formation soit la plus complète possible. Ainsi des liens sont-ils tissés avec l’Enita de Clermont-Ferrand, également habilitée pour la licence “produits de terroir” (les étudiants passent une semaine sur le site de Marmilhat) ; avec l’Esepac pour aborder le volet emballage alimentaire (deux jours à l’Ecole supérieure européenne des professions de l’emballage et du conditionnement du Puy-en-Velay).