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De nouveaux projets pour la fromagerie des Cévennes

Vendredi 2 juillet, la fromagerie des Cévennes a tenu son assemblée générale dans la salle de la Passerelle à Sainte-Croix-Vallée-Françoise. À l’ordre du jour notamment : « le projet stratégique de la coopérative, intitulé Coop 2030, et les investissements à prévoir pour le réaliser ».

Vendredi 2 juillet, la fromagerie des Cévennes a tenu son assemblée générale dans la salle de la Passerelle à Sainte-Croix-Vallée-Françoise. À l’ordre du jour notamment : « le projet stratégique de la coopérative, intitulé Coop 2030, et les investissements à prévoir pour le réaliser ».
Vendredi 2 juillet, la fromagerie des Cévennes a tenu son assemblée générale dans la salle de la Passerelle à Sainte-Croix-Vallée-Françoise. À l’ordre du jour notamment : « le projet stratégique de la coopérative, intitulé Coop 2030, et les investissements à prévoir pour le réaliser ».
© Aurélie Pasquelin/Illustration

« Cette assemblée générale a permis de faire un bilan plutôt positif de l’année 2020, avec des résultats équilibrés », s’est satisfait Frédéric Monod, directeur de la Fromagerie des Cévennes, interrogé à l’issue de cette matinée de débat. « Nous payons 1,05 € le litre de lait en conventionnel et 1,17 € le litre en bio à nos producteurs, ce sont des prix en hausse », a par ailleurs rappelé le directeur de la fromagerie des Cévennes.
Mais ce qui a occupé la majeure partie des débats, ce sont les projets de développement de la coopérative : « nous allons scanner l’ensemble de la coopérative dans toutes ses composantes, que ce soit sur la qualité, la place ou encore les conditions de travail de notre vingtaine de salariés », a détaillé Frédéric Monod. Ce travail a été lancé dans un objectif « d’agrandissement du site », à terme, a révélé ce dernier. Des modules de travail seront aussi examinés (on peut penser aux normes ISO 2000, etc.), le tout piloté par un comité de projet.
À l’issue de ce scan exhaustif, « nous pourrons réfléchir à comment mieux répondre aux demandes de nos clients, tout en assurant des défis liés à la qualité de nos produits, au confort de travail de nos salariés et à la productivité », a expliqué le directeur, « tout en gagnant de la place sur le site de production, qui se révèle un peu étroit à l’usage ». « Nous avons besoin de ces investissements dans des nouveaux matériels pour continuer à avancer », a affirmé Frédéric Monod.

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