De l’innovation pour prévenir les mammites
        
      
      
            Afin d’identifier les bactéries responsables de mammites, le laboratoire Galilait met à disposition des éleveurs un outil totalement innovant  : VITEK®-MS.
      
 
Tous les professionnels sont un jour ou l’autre confrontés à un problème de mammite dans leur élevage laitier. Cette pathologie touche en effet plus de 40% des vaches en production. Cette infection de la mamelle par des bactéries qui pénètrent par le sphincter du trayon, déclenche alors une réaction inflammatoire dont les conséquences sont importantes pour le producteur : augmentation du travail, réformes subies, perte économique… mieux vaut alors prévenir que guérir !
C’est toute la finalité de la solution VITEK®-MS que seul le laboratoire Galilait est en mesure de proposer aujourd’hui. L’innovation de cette technique tient à sa rapidité et à son efficacité : rapidité puisqu’en moins de 90 secondes l’outil détecte les bactéries responsables des mammites ; « c’est au moins 48 h de gagné par rapport à un diagnostic classique ! On peut d’ailleurs poursuivre en réalisant un antibiogramme en 24h au lieu de 6 jours par la méthode traditionnelle, avec l’outil Vitek 2®, ce qui permet au vétérinaire de conseiller efficacement l’éleveur en proposant le cas échéant un antibiotique adapté » explique Evelyne Gouret, directrice du laboratoire Galilait.
Efficacité enfin, puisque l’identification est certaine dès lors que le prélèvement est de qualité et non contaminé par des bactéries environnementales.
Comment ça marche ?
Galilait sélectionne des animaux prélevés ayant eu des mammites ou à taux cellulaire élevé ; un prélèvement stérile est réalisé en utilisant un tube glycérolé (Cryokit®), congelé sur place par l’éleveur. Le cryokit (5 tubes par élevage) est ensuite remis au laitier ou envoyé par la Poste pour être acheminé au laboratoire Galilait. Les flacons sont mis en analyse dès réception ou à J+1.
Le résultat de l’identification est transmis à l’éleveur, au vétérinaire et à toute autre partie prenante, à j+1 ou J+2 sous réserve de la qualité des prélèvements et de la croissance rapide du micro-organisme présent. Evelyne Gouret précise que « l’analyse effectuée en laboratoire est un outil d’aide au diagnostic ou à la prise de décision. En aucun cas elle ne se substitue à l’expertise du vétérinaire, du professionnel ou du technicien de terrain. C’est la confrontation des observations terrain avec l’appui complémentaire des résultats d’analyses que la stratégie sanitaire peut ensuite être déployée ».
 
        
     
 
 
 
 
 
 
 
 
 
