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De l’art de bien choisir son fidèle compagnon

Un chien d’arrêt comme le braque ou l’épagneul sera idéal pour traquer le petit gibier tandis que pour une battue au sanglier, il sera préférable d’opter pour un grand bleu de Gascogne ou un Beagle. Chaque chien est unique, il est donc important de prendre le temps d’observer son comportement en extérieur.

Le braque est un chien d’arrêt.
Le braque est un chien d’arrêt.
© Domaine public

Les Français aiment les chiens, c’est un fait. Huit millions, de 330 races différentes sont présents dans les foyers. Sur ces huit millions de compagnons, la moitié sont des chiens de chasse répartis en 150 races différentes. Si tous ne chassent pas, l’immense majorité exerce ses talents dans nos plaines, bois, marais et montagnes. Chaque race possède des qualités qui lui sont propres, et qui lui permettent d’être plus ou moins à l’aise en fonction des gibiers. Les chiens de chasse dits « d’arrêt » ont la particularité de s’immobiliser lorsqu’ils repèrent une proie. Ils attendent alors l’ordre de leur maître avant de se lancer à sa poursuite. En règle générale, les chiens d’arrêt sont aussi éduqués pour traquer et rapporter. Ce sont des partenaires indispensables pour traquer le petit gibier, à plume ou à poil. On conseillera plutôt des races comme le setter, ou le braque, docile et polyvalent. Les épagneuls seront aussi de bon chien de chasse pour la traque des oiseaux. Énergiques et endurants, ils sont capables de travailler durant plusieurs heures, sans fatiguer. Parmi les races adéquates, on retrouve également le labrador ou le golden retriever.

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