Aller au contenu principal

Production porcine
Comment donner un avenir à la filière sur le Massif central ?

Des atouts à valoriser, des handicaps à compenser. La filière porcine du Massif central se cherche un avenir. Alors que la ville d’Aurillac, dans le Cantal, accueillera les 13 et 14 juin prochain, le congrès national de la Fédération nationale porcine (FNP), nous vous proposons de revenir sur les enjeux.

© La Creuse agricole et rurale

Depuis plusieurs mois, les professionnels agricoles du Massif central se mobilisent pour garantir un avenir à la filière porcine dans le Massif central. Plusieurs arguments sont mis en avant pour défendre cette production : le poids de l’emploi qu’elle génère, de l’ordre de 9 000 répartis sur tout le territoire ; le type d’élevage en adéquation avec les attentes sociétales en matière environnementale, de sécurité sanitaire et de qualité des produits ; et la complémentarité avec les autres secteurs agricoles présents sur le territoire.
Autrefois, l’élevage de porc était généralisé dans quasiment toutes les fermes. Le Massif central était le premier bassin porcin de France au début du XXe siècle¹. Aujourd’hui, la production porcine continue d’exister grâce à des ateliers spécialisés sur des modèles familiaux et des élevages de taille plus réduite qui se sont davantage maintenus que dans les autres régions françaises. La taille moyenne des élevages du Massif central est de 660 porcins contre 1 200 pour la France et 1 450 pour la Bretagne.
Marqueur de l’identité du territoire, la charcuterie sèche issue de la production locale se concrétise par une centaine d’entreprises industrielles, près de 300 entreprises artisanales, représentant plus de 1 000 actifs et 121 millions d’euros de chiffre d’affaires. Les démarches label rouge, IGP et Montagne ont été imaginées pour la mettre en valeur.

 

[...]

La suite est à lire dans la Creuse agricole et rurale du 7 juin 2013.

Les plus lus

Claude Aguttes présente la statue de la vierge.
Le mobilier du château du Sailhant sera vendu aux enchères

La maison Aguttes s’occupe de la vente aux enchères du mobilier du château du Sailhant sur la commune d’Andelat. Une vierge du…

Coureurs trailers en descente sur un chemin dans le brouillard.
Et si un Cantalien s’adjugeait l’UTPMA ?

Dans un ultra trail du Cantal (UTPMA) réputé pour sa technicité, sa variété et ses paysages, l’expérience du terrain pourrait…

Quel sera le futur de la Commanderie templière ?

La commanderie templière de Celles sort d’une longue léthargie grâce à la passion de Claude  et Bernadette Aguttes, ses…

les quatre personnes de la famile Soule
À tire d’aile, 20 ans de diversification pour le Gaec des Tuyas Dorés

Depuis 20 ans, le Gaec des Tuyas Dorés à Saint-Poncy élève et commercialise des volailles en plus de son atelier de vaches…

Fondu de cloches !

Installé depuis peu dans le Cantal, Nicolas Schweiger y a retrouvé des airs de sa Suisse 
natale, mais surtout des…

dégâts grêle
10 jours après l'orage, conséquences en cascades pour les agriculteurs du Livradois

Après qu'une pluie de grêlons d'un diamètre de 12 cm ait frappé une dizaine de communes des environs de Bertignat,…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 100€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir lait
Profitez de l’ensemble des cotations de la filière Réussir lait
Consultez les revues Réussir lait au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de la filière laitière