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Céréales ukrainiennes : prorogation de l’accord d’Istanbul pour 120 jours

Alors que l’accord d’Istanbul sur les exportations de céréales ukrainiennes en mer Noire devait expirer le 19 novembre, l’Ukraine et la Russie, avec l’entremise de l’ONU et de la Turquie, ont convenu de le reconduire pour une période similaire de 120 jours.

Alors que l’accord d’Istanbul sur les exportations de céréales ukrainiennes en mer Noire devait expirer le 19 novembre, l’Ukraine et la Russie, avec l’entremise de l’ONU et de la Turquie, ont convenu de le reconduire pour une période similaire de 120 jours.
Alors que l’accord d’Istanbul sur les exportations de céréales ukrainiennes en mer Noire devait expirer le 19 novembre, l’Ukraine et la Russie, avec l’entremise de l’ONU et de la Turquie, ont convenu de le reconduire pour une période similaire de 120 jours.
© Nicole Ouvrard/Illustration

Après d’intenses négociations, l’Ukraine et la Russie, avec la coopération de l’ONU et de la Turquie, ont finalement réussi à s’entendre le 17 novembre pour prolonger de 120 jours l’accord d’Istanbul (conclu le 22 juillet), qui a permis à l’heure actuelle d’exporter plus de 11 millions de tonnes de céréales ukrainiennes. « Cette prolongation se fera selon les mêmes conditions que celles observées depuis le mois de juillet », a annoncé la Turquie, qui a joué dans ce dossier un rôle important de médiation. Ankara précise que « de nouveaux arrangements » pourront être pris après la période hivernale. De son côté, le ministre ukrainien des Infrastructures Oleksandre Koubrakov a indiqué qu’il s’agissait d’un pas « important dans la lutte contre la crise alimentaire mondiale ». Suite à cette décision, les cours des céréales ont poursuivi leur baisse observée depuis plusieurs jours. Sur le marché européen Euronext, les cours ont ainsi nettement décroché : celui du blé a atteint son plus bas niveau depuis septembre, sous les 316 €/t. Quant au maïs, il dévisse sous les 302 €/t, du jamais-vu depuis le mois d’août.

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