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Maïs
Vague de ventes dans l’ouest de la France

Les cours du maïs ont gagné du terrain, soutenus par la baisse de la monnaie européenne et la petite note de fermeté observée sur Chicago. Les stocks mondiaux reculent selon l’USDA, passant de 220,98 Mt à 217,56 Mt entre janvier et février, compte tenu d’une demande globale bien présente. Dans l’Hexagone, l’offre reste limitée au nord de la Loire. En revanche, une vague de ventes est signalée sur la façade Atlantique, allant de la Charente au Sud-Ouest, à destination des industriels locaux. Les vendeurs ont besoin de régénérer leur trésorerie, sachant que l’export sera compliqué.

Orge de mouture

Regain d’activité en portuaire

Les prix de l’orge fourragère ont suivi l’évolution haussière du blé tendre (baisse de l’euro, forte demande internationale). L’activité portuaire en France s’est quelque peu débridée sur la façade Atlantique, grâce à l’achat saoudien de 1,5 Mt. En revanche, les échanges sur le marché intérieur ont baissé en intensité, les fabricants d’aliments étant moins demandeurs. Notons que la Jordanie recherche 50 000 t d’orges fourragères.

Orge de brasserie

Atonie globale

Les cours des orges de brasserie sont plutôt en retrait. Globalement, l’activité est peu dynamique, dans un marché peu offert.

Blé dur

Le made in France peu attractif

Les cotations du blé dur se sont effritées, l’offre française manquant d’attractivité. Le point réalisé aux Sables-d’Olonne a permis de souligner que les vendeurs français ont des prétentions élevées, voire déconnectées du marché mondial.

Frets

Fort recul dans l’Est

Les cours des frets fluviaux ont bien reculé dans l’est du pays, du fait de la remontée des eaux du Rhin. Les prix dans l’Ouest sont inchangés.

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