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Maïs
Retrait des prix en portuaire, hausse dans le Centre et en Bretagne

Les prix du maïs reculent en portuaire, conséquence de la fermeté de la monnaie européenne. Néanmoins, les cours dans le Centre et en Bretagne progressent. Les Fab bretons et du nord de l’UE ont des besoins, et font venir des marchandises depuis les départements de l’Eure, d’Eure-et-Loir… Les volumes ne correspondent qu’à des minima techniques dans l’ensemble, mais le manque de trains, et le recours massif au camion, suffisent à engendrer des soucis logistiques et une certaine tension sur les prix. Dans les champs, Céré’Obs estimait en semaine 19 les semis français achevés à 99 %. Les conditions de cultures sont "bonnes à très bonnes" dans 86 % des cas (85 % en 2016).

Orge de mouture

L’achat de l’Arabie saoudite fait monter les primes portuaires

L’évolution de la parité €/$ a aussi pesé sur les cotations des orges fourragères. Néanmoins, la baisse des prix a été freinée par la demande des Fab hexagonaux et espagnols. Ajoutons à cela les problèmes logistiques cités précédemment. Sur la scène internationale, l’Arabie saoudite souhaite acheter 1,5 Mt de marchandises, contribuant à faire monter les primes portuaires.

Orge de brasserie

Poursuite de la baisse des prix en récolte 2017

Les cours des orges brassicoles ont reculé. Ce repli tarifaire n’a pas suscité d’engouement de la part des acheteurs, qui attendent de voir si ce mouvement baissier va se poursuivre. Côté cultures, Céré’Obs estime que les cultures évoluent dans des conditions "bonnes à très bonnes" dans 78 % des cas semaine 19 (77 % la semaine passée).

Blé dur

Atonie générale

Les prix du blé dur sont stables, dans un marché qui tourne au ralenti, spécialement avec la Bourse de Sète des 18 et 19 mai. FranceAgriMer juge les conditions de cultures "bonnes à très bonnes" dans 67 % des cas en semaine 19 (64 % en semaine 18).

Frets fluviaux

La nouvelle campagne se prépare

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